C’est une nouvelle péripétie dans le long débat sur la légalisation de l’aide à mourir. François Bayrou veut scinder le projet de loi discuté au printemps 2024 : d’un côté les soins palliatifs, de l’autre l’aide à mourir. Avec la possibilité que le deuxième volet ne se concrétise pas.
La rafale de mesures anticlimatiques annoncées par le nouveau président américain ne doit pas faire oublier le mauvais bilan des démocrates au pouvoir : les États-Unis produisent aujourd’hui plus de pétrole qu’aucun autre pays dans l’histoire du monde et ne respectent pas leurs objectifs de baisse de CO2.
La direction générale du Trésor a publié une note chiffrant à 66,8 milliards d’euros le dérapage surprise des comptes publics en 2023 et en 2024 par rapport aux prévisions des gouvernements Borne et Attal, qui se sont plantés sur toute la ligne.
Le patron de LVMH était le seul Français présent sur l’estrade d’honneur pendant la cérémonie d’investiture à Washington. Il a rencontré celui qui allait devenir président des États-Unis en 1981, lorsqu’il a fui la France après l’élection de François Mitterrand. Leurs liens ne se sont jamais démentis.
Dans son dernier ouvrage, « Le Capitalisme de l’apocalypse », l’historien canadien Quinn Slobodian continue d’explorer les liens contemporains entre capitalisme et démocratie. Cette fois, il explore les leviers utilisés par les libertariens pour réaliser leur sinistre utopie.
Avant même son investiture, Donald Trump a commencé à monétiser sa présidence. Le lancement de sa propre cryptomonnaie a permis à sa famille de s’enrichir de plusieurs milliards en quelques jours. Une rupture radicale, qui illustre l’accaparement du pouvoir monétaire par le privé.
Une partie de l’extrême droite européenne est invitée à la cérémonie d’investiture de Donald Trump. La distribution des invitations trace des choix. Pour l’instant, c’est Giorgia Meloni qui semble tirer son épingle du jeu.
Le candidat investi par La France insoumise, Lyes Louffok, a subi une lourde défaite face à Camille Galliard-Minier, représentante du camp présidentiel. Plombé par une faible participation et des difficultés internes à sa campagne, il n’aura pas réussi à garder un siège conquis par la gauche en 2024.
La conversion de tout le secteur de la technologie au trumpisme est le fruit de son modèle économique. Pour poursuivre sa logique prédatrice, il a trouvé dans l’extrême droite un débouché politique utile.
L’édition 2024-2025 du télécrochet de TF1 est marquée par la question des discriminations, à cause d’un flot de haine raciste sur les réseaux sociaux. Chez les internautes, mais aussi chez les candidats, des stratégies de défense se mettent en place pour y répondre, de façon inédite.