Mediapart vous propose une soirée vidéo en accès libre :> Hôtel Écho d’Éléonor Gilbert, un documentaire sensible sur la prévention de la violence domestique.> Douze films en lien avec le festival « Cinéma du réel » (du 15 au 24 mars à Paris). > « Chine : la stratégie d'une puissance émergée », un entretien avec Sophie Wintgens.
Le documentaire Les Yeux de la parole suit la naissance d’un opéra contemporain à Aix-en-Provence, Kalîla wa Dimna, à travers des collégiens découvrant en classe ce qu’une équipe artistique magnifie sur scène. La jonction est fabuleuse.
En association avec le festival international du film documentaire « Cinéma du réel », dont la 41e édition se tient du 15 au 24 mars à Paris, Mediapart vous propose de voir en intégralité douze films de la sélection « Première fenêtre », qui fait la part belle aux premières œuvres de jeunes auteurs.
Mediapart accompagne la naissance, d’abord en exil à Paris, ensuite in situ, d’un musée d’art moderne et contemporain en Palestine, constitué de dons de créateurs solidaires. L’Unesco en expose une préfiguration. Visite guidée.
Depuis plus d’un an, le milieu de la photographie semble ouvrir les yeux sur l’anormale sous-exposition des femmes photographes. Mediapart en débat avec les photographes Marie Docher et Catalina Martin-Chico, ainsi que Jean-François Leroy, directeur du festival Visa pour l’image.
Tous les mercredis, à partir de 18 heures, Mediapart vous propose une soirée vidéo en accès libre. Au programme de ce soir :> Les Invisibles, de Clarisse Feletin. Une enquête au cœur de la sous-traitance du nettoyage, quasiment une nouvelle forme d’esclavage. > Un débat sur la sous-exposition des femmes photographes, avec trois invité·e·s. > Un entretien de notre collection « Science friction », avec la chercheuse Sylvie Catellin, sur la notion de sérendipité.
Tous les mercredis, à partir de 18 heures, Mediapart vous propose une soirée vidéo en accès libre. Au programme de ce soir :> Cuba Feliz de Karim Dridi. Une pérégrination à La Havane avec Miguel Del Morales, dit El Gallo.> Un entretien avec Nicolas Delalande, auteur de La Lutte et l’entraide (Seuil).> Les Détricoteuses : un entretien avec Vanessa Codaccioni, auteure de Répression. L’État face aux contestations politiques (Textuel).
Ils ont cru qu’ils passeraient leurs vieux jours à siroter un jus de fruit en contemplant leur gazon bien taillé, ils se retrouvent à dormir dans leur van sur un parking de supermarché en attendant l’heure de l’embauche. Nomadland, de Jessica Bruder, est une enquête sur un pan encore méconnu de l’Amérique pauvre, les retraités itinérants à la recherche de jobs saisonniers.
Tous les mercredis, à partir de 18 heures, Mediapart vous propose une soirée vidéo en accès libre. Au programme de ce soir :> Rond-point de Pierre Goetschel. Un curieux documentaire sur la passion française des sens giratoires.> Peau d’âme de Pierre-Oscar Lévy. À la recherche des vestiges du film Peau d’âne de Jacques Demy.> Un entretien avec la rabbin Delphine Horvilleur : « L’antisémite est toujours un intégriste ».
À l’occasion du quarantième anniversaire de la révolution iranienne, une exposition et un ouvrage richement documentés restituent, à travers les livres publiés pendant les premières années du changement de régime, une histoire beaucoup moins linéaire que le récit officiel qui en est fait. Analyse en images.
Charles Dutoit, en quarantaine dans le monde musical pour être accusé d’agressions sexuelles, dirige La Damnation de Faust de Berlioz à la Philharmonie de Paris dimanche 3 février, invité à remplacer Emmanuel Krivine, souffrant.
Voici qu’Il Primo Omicidio, oratorio d’Alessandro Scarlatti, trois siècles après sa création à Venise, s’impose au palais Garnier, dans une mise en scène de Romeo Castellucci et sous la baguette de René Jacobs. Une résurrection plus qu’éclairante.
Le film de Jason Reitman, qui sort mercredi 16 janvier sur les écrans français, met les journalistes face à leurs responsabilités en racontant l’histoire de la candidature avortée de Gary Hart à la présidentielle américaine de 1988.
La Philharmonie de Paris a rendu un hommage digne de ce nom, donc généreux, libre et inventif, au violoniste Ivry Gitlis, 96 ans, mais encore capable de soulever les montagnes et le public. Compte-rendu d’une soirée fabuleusement folle.
Déjà joué devant 6 000 élèves de la région Paca, le spectacle de Selman Reda remonte le fil de son histoire personnelle et des origines du Coran, sans verser dans la démonstration.