La centrale syndicale s’indigne que des « adresses électroniques CFDT [aient] été détournées pour diffuser une invitation de la Belle Alliance populaire » créée par le PS.
Alors que le deuxième débat entre les candidats à la primaire d'Europe Écologie-Les Verts est organisé jeudi, la chercheuse Vanessa Jérome décrypte les enjeux du scrutin. Entre tentative de monopoliser la parole écologiste à la présidentielle et soumission à la logique présidentielle de la Ve République.
Le Conseil national du PS a adopté dimanche, à l’unanimité, les règles d’organisation de la primaire, qui aura lieu en janvier 2017 et ressemblera beaucoup à celle de 2011. Longtemps hésitant, Arnaud Montebourg a annoncé qu’il y participerait.
Les quatre candidats, Karima Delli, Cécile Duflot, Yannick Jadot et Michèle Rivasi, ont débattu mardi sur LCP-Public-Sénat, avant le premier tour mi-octobre. Pour voter, il faut s’inscrire avant samedi. Et pour l'instant, il n'y a pas grand monde.
Olivier Besancenot, ancien candidat à la présidentielle, ancien porte-parole du NPA, débat avec Henri Weber, chargé des études à la direction du PS, qui vient de publier Éloge du compromis, chez Plon.
Pour répondre à la question qui organise l'élection présidentielle, « Faut-il sauver le PS ? », plusieurs invités, parlementaires, élus locaux, militants : ils soutiennent Macron, veulent tourner la page, se retirer de la politique ou soutiennent encore Hollande.
Depuis 2012, le PS n'a connu qu'une longue série de défaites électorales. Invité : Frédéric Sawicki, professeur de science politique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Réunis à La Rochelle, les « frondeurs » du PS ont relancé une campagne pour une primaire de toute la gauche, malgré les échecs de ces derniers mois. Avec l’espoir d’y battre François Hollande et d’éviter l’effacement de la gauche à la présidentielle. Mais ils semblent bien seuls.
Durant trois jours, le premier secrétaire du parti communiste, Pierre Laurent, a prêché pour une candidature commune de la gauche anti-Hollande. Les candidats invités – de Montebourg à Mélenchon, de Hamon à Duflot – sont d’accord. Mais ils restent tous candidats.
L’ancien ministre et figure de l’aile gauche du PS a réuni ses troupes ce week-end à Saint-Denis pour lancer sa campagne à la primaire. Dans son discours comme dans les coulisses, l’ambiance est au réquisitoire virulent contre le bilan du pouvoir.
Le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts dénonce les dérives sur l'islam. « Dès qu’on recule d’un demi-centimètre, c’est le Front national qui avance », explique-t-il.
Lors de leurs universités d'été, les écologistes et les proches de Jean-Luc Mélenchon et de Benoît Hamon tentent tant bien que mal de relever la tête après la séquence de l'interdiction du burkini, appuyée par Manuel Valls.
Lors de leurs universités d’été, le Parti de gauche et Europe Écologie-Les Verts ont organisé un atelier consacré au harcèlement sexuel au sein des partis politiques, pour tenter d’éviter une nouvelle affaire Baupin.
Réuni pour les journées d’été à Lorient, EELV prépare sa primaire, à laquelle huit candidats veulent participer. Le parti, affaibli et traumatisé par le précédent de 2012, espère éviter cette fois un « jeu de massacre ».
L’ancien ministre de l’économie présente dimanche 21 août, lors de la fête de la Rose de Frangy-en-Bresse, son « projet pour la France », nouvelle étape en vue de sa candidature à la présidentielle. Il va devoir aller au-delà de ses sujets fétiches, l’Europe et la démocratie, pour s'expliquer sur son programme et ses alliances.