Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
L’association Anticor a déposé une plainte avec constitution de partie civile dans l’affaire des contrats russes d’Alexandre Benalla. Elle souhaite la nomination d’un juge d’instruction pour enquêter sur des soupçons de corruption dans ce dossier, qui est entre les mains du Parquet national financier depuis trois ans.
En juin 2015, Pierre Person, cofondateur des « Jeunes avec Macron », a sollicité l’intervention de Stéphane Séjourné, alors conseiller parlementaire d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie, pour être recruté chez Uber. « Je ne me souviens pas si j’ai poussé sa candidature », indique Stéphane Séjourné à Mediapart.
Une nouvelle femme a raconté à BFMTV avoir eu des « vertiges » après avoir pris un verre avec l’élu en 2013, puis s’être réveillée « complètement dévêtue ». Fraîchement débarqué du gouvernement, le député dénonce des « calomnies ignobles ».
Une semaine après avoir dû admettre que les informations concernant le couple de députés Garrido-Corbière étaient fausses, l’hebdomadaire « Le Point » a été condamné en diffamation dans une tout autre affaire, en raison d’une base factuelle « inexistante ». Un fiasco de plus pour la direction de la rédaction, qui a une fâcheuse tendance à publier ses informations sans les vérifier.
Soupçonné d’avoir détourné 114 000 euros de frais de mandat, l’ancien patron du PS avait négocié un « plaider-coupable » avec le parquet national financier. Mais un juge a refusé cette solution à l’amiable, ouvrant la voie à un procès.
Une enquête de Mediapart raconte l’une des plus grandes entreprises de manipulation de l’information intervenue en France ces dernières années. Plusieurs sites participatifs, dont Le Club de Mediapart, en ont été victimes. Au cœur de l’histoire : une société privée, Avisa Partners, qui travaille pour le compte d’États étrangers, de multinationales mais aussi d’institutions publiques.
L’ancien député LREM de la Gironde, défait aux dernières législatives, a été condamné ce jeudi 23 juin pour le harcèlement de son ex-femme. Benoît Simian écope de huit mois de sursis mais échappe à une peine d’inéligibilité.
Dans un article publié mercredi, « Le Point » accuse le couple LFI de maltraiter une femme de ménage sans papiers. Des éléments recueillis par Mediapart montrent que l’enquête est truffée d’erreurs et d’incohérences. Son auteur, Aziz Zemouri, persiste, mais l’article a finalement été supprimé jeudi midi.
Le président de l’université Panthéon-Assas a été saisi d’une demande « exceptionnelle » : ouvrir un poste sur mesure pour accueillir l’ancien ministre Jean-Michel Blanquer, défait aux législatives.
Candidat en Charente-Maritime, l’imitateur a donné une conférence de presse pour dénoncer une « cabale » menée contre la Nupes par Mediapart, qui a révélé de nombreux litiges le concernant. De nouveaux témoignages viennent pourtant étayer nos informations.
Le parlementaire Benoît Simian (ex-LREM) , déjà mis en cause pour le harcèlement présumé de son ex-épouse, a demandé l’intervention des gendarmes pour la « déloger » de son logement. La préfète a refusé. Il l’attaque désormais au tribunal administratif.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Depuis deux ans et demi, la commission de contrôle de l’élection présidentielle refuse de transmettre les documents relatifs à la censure d’articles de Mediapart en 2022. Après une longue bataille administrative, le Conseil d’État vient de nous donner raison dans un arrêt à la portée importante pour la liberté d’information.
L’agence nationale refusait de communiquer à Mediapart les contrats liés aux commandes de masques pendant la crise de sanitaire en se retranchant derrière le « secret des affaires ». La CADA vient de lui donner tort.
Lucio Urtubia est décédé le 18 juillet à Paris à l’âge de 89 ans. Après avoir fui le franquisme, ce militant libertaire, maçon le jour, a consacré ses nuits et week-end à confectionner des faux papiers et documents bancaires pour aider les peuples opprimés.
L’annonce du procès à venir du maire de Tarbes n’a pas été relayée par la presse locale. Un choix que le chef de La Nouvelle République des Pyrénées a justifié en indiquant que l’information, révélée par Mediapart, était fausse. Il a menti. Quand nous l’avons appelé, le journaliste, dont la fille est numéro 2 sur la liste du maire sortant, a avoué qu’il n’avait même pas lu notre article.
L'Institut supérieur de commerce international de Dunkerque - Côte d’Opale et le site « Paradis fiscaux et judiciaires » organisent le 21 mars un colloque sur les paradis fiscaux à l'Assemblée nationale.