EINCIYAN

Journaliste depuis 1986, j'ai travaillé dix-neuf ans au Monde (Société et International). J'ai rejoint Mediapart dès le début, pour m'intéresser à la «chaîne pénale» (police, justice, prison). 

Tous ses articles

  • Amnesty proteste contre une atteinte à la liberté d'expression

    France — Lien

  • Flashball: un policier mis en examen (Nouvel Observateur)

    France — Lien

  • Gendarmerie: la contestation qui vient

    France

    Des sous-officiers aux retraités, la colère monte dans lamaréchaussée. Au fil de leurs blogs et revues, les gendarmes dénoncent le «mensonge d'Etat» d'un pouvoir qui aurait entrepris, sans le dire,de «détruire la gendarmerie». Ils refusent de devenir les«gardes champêtres» de «brigades dortoirs ouvertes deuxdemi-journées par semaine» et d'être cantonnés à «mettre desradars au bord des routes». Ils protestent contre la «grandebraderie» qui s'accélère dans leur corporation rattachée (depuis janvier2009) au ministère de l'intérieur. Une crise d'identité après «800 ans demétier».

  • Réforme pénale: la fin des affaires politico-financières?

    France

    D'un tour de passe-passe, la réforme de la procédure pénale prévoit d'enterrer les scandales politico-financiers les plus dérangeants pour l'exécutif. Le projet du gouvernement comporte une promesse faite au patronat par Nicolas Sarkozy: «la dépénalisation de la vie des affaires». Coup de projecteur sur une disposition qui est un nouveau signe de la reprise en main de la justice.

  • Dans la fonction publique, le plus grand plan social de France

    France — Enquête

    100.000 emplois supprimés depuis trois ans: l'Etat taille comme jamaisdans les effectifs des administrations. Un fonctionnaire partant à laretraite sur deux n'est pas remplacé. Dans l'éducation nationale,l'armée, la police, ça coince. Idem à l'hôpital, où le nombred'employés commence à décroître. Pourtant, en temps de crise, leservice public est plus que jamais sollicité. Enquête de Mediapart, en trois volets.

  • Villiers-le-Bel: les familles des ados tués attendent toujours la vérité

    France

    Mercredi 17 février, la cour d'appel de Versailles examine le sort judiciaire des policiers impliqués dans la mort de deux adolescents à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) en novembre 2007. Les familles de Mouhsin, quinze ans, et Lakami, seize ans, tués dans la collision de leur mini moto avec une voiture de police, ne comprennent pas le non-lieu rendu en faveur des policiers, le 23 octobre 2009, dans ce dossier ouvert - contre «X» - pour «homicides involontaires». Leurs avocats ont déposé plainte pour «faux témoignage» contre les policiers impliqués dans le drame et demandent que ces derniers soient entendus sur les éléments nouveaux révélés par l'enquête judiciaire.

  • Les lois répressives s’empilent

    France — Note de veille

    La loi sur «la performance de lasécurité» devrait être adoptée par les députés mardi 16 février. A l'approche des régionales, le parlement a débattu ces derniers jours de vidéosurveillance, de contrôle d'internet, du couvre-feu pour les moins de 13 ans, du rôle des polices municipales... Retrouvez nos articles et analyses.

  • La loi sur «les bandes» adoptée (JDD)

    France — Lien

  • Sécurité: 60.000 caméras à la place des policiers

    France

    On ne doit plus parlerde «vidéosurveillance», selon le gouvernement, mais de«vidéoprotection». Ce changement sémantique vise-t-il à fairepasser la généralisation des caméras qui est prévue par leprojet de loi sur «la performance de la sécurité» discuté àl'Assemblée nationale? Droite et gauche s'étrillent autour du triplementannoncé du nombre des caméras. Mais des élus de la majorité protestent quand le gouvernement veut faire payer la facture aux municipalités et que cela s'accompagne de la diminution des effectifs policiers.

  • Le «couvre-feu» pour les moins de 13 ans, nouvelle gesticulation sécuritaire

    France

    Dans le fourre-tout sécuritaire qu'est la future loi pour la«performance de la sécurité intérieure», le couvre-feu imposé aux mineurs est assez symbolique decette mise en scène politique qui précède les élections régionales. Le projetde loi, examiné à partir du 9 février par l'Assemblée nationale, après êtreresté deux ans dans les tiroirs, fait resurgir ce serpent de mer enl'assortissant de conditions telles que le «couvre-feu» (destemps de paix), qui devraient le rendre très difficile, voire impossible, à appliquer.

  • Avocat et politique, tous suspects?

    France — Lien