Derrière l’inventeur des Vieilles Charrues et le sauveur de l’hôpital local, devenu leader de la colère bretonne, se cache un personnage parfois autoritaire et brutal. Premier volet de notre enquête sur le maire de Carhaix, consacré à sa pratique du pouvoir à l'heure où le premier ministre est attendu à Rennes pour signer « le pacte d'avenir pour la Bretagne ».
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C'était le 30 novembre dernier. À Carhaix, dans le Finistère, les « Bonnets rouges » déroulaient l'acte deux de leur résistance pour « vivre, décider et travailler en Bretagne ». Au sud de la ville, sur le site de Kerampuilh, où se joue chaque été depuis plus de vingt ans le festival des Vieilles Charrues, 30 000 personnes jouaient des coudes en buvant de la bière, entonnaient avec Gilles Servat « la Blanche Hermine » l'hymne officieux des régionalistes bretons et infligeaient des cartons rouges à « l'État central », devant près de deux cents journalistes, dont la BBC.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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