Après cent jours émaillés de scandales et de revirements, Donald Trump fait-il encore recette ? Dans le comté « baromètre » de Northampton, en Pennsylvanie, certains de ses électeurs sont nerveux pour leur portefeuille, mais ne regrettent pas leur choix.
Au lendemain de la coupure géante de courant qui a paralysé la péninsule Ibérique, Espagnols et Portugais racontent une journée surréaliste marquée par la désinformation et leur impréparation face à ce type de catastrophe.
Le Parti libéral mené par le premier ministre Mark Carney a remporté lundi les élections fédérales au Canada, devant les conservateurs, mais sans obtenir de majorité au Parlement. Malgré leur défaite, les formations de gauche, le Nouveau Parti démocratique et le Parti vert, pourraient monnayer leur soutien.
Du génocide palestinien à la réélection de Donald Trump en passant par la guerre en Ukraine, le rapport annuel de l’ONG décrit une année 2024 qui « nous a tous et toutes déshumanisés » et durant laquelle une « croisade religieuse, raciste et patriarcale » a déferlé sur le monde.
Après l’avoir longtemps démenti, Moscou et Pyongyang ont finalement admis que des soldats nord-coréens – sans doute plus de 10 000 – combattent contre l’Ukraine aux côtés de l’armée russe. Vladimir Poutine a remercié « personnellement » le « camarade Kim Jong-un » pour ce soutien.
La droite européenne tient son congrès jusqu’au mercredi 30 avril à Valence, en Espagne. Un choix aux allures de provocation, alors que la gestion des inondations meurtrières de 2024 par la droite locale continue d’indigner le pays, et que les conservateurs à Bruxelles ne cessent de détricoter le Pacte vert.
MCC Brussels est une succursale d’une université hongroise liée au gouvernement de Victor Orbán, qui dispense des conférences et des « études » orientées. Enquête sur cette officine qui tente de fédérer les extrêmes droites à Bruxelles, en lien avec la mouvance trumpiste.
Marci Shore, historienne spécialiste de la mémoire du XXe siècle en Europe de l’Est, enseignait à l’université Yale, aux États-Unis. Critique de Donald Trump, elle s’est exilée en raison du climat politique dans son pays. Rencontre à Toronto, où elle vit désormais.
Le philosophe britannique déploie une pensée morbide et élitaire cherchant le chaos pour parvenir à la création d’une « nouvelle espèce » technologiquement formée. Une vision qui inspire plusieurs dirigeants de la Big Tech et certains membres de l’administration Trump.
Avec son livre « Le Cas Trump », l’essayiste canadien Alain Roy dresse un portrait dévastateur du président états-unien. Avec la volonté de parler du fond et non des controverses suscitées en permanence par le principal intéressé pour éviter qu’on s’y intéresse.
Les menaces du président états-unien contre son voisin ont dominé les débats de la campagne pour les élections fédérales. Lundi 28 avril, le premier ministre libéral Mark Carney, qui a succédé à Justin Trudeau, tentera de profiter du nationalisme ambiant.
Virginia Giuffre, Américano-Australienne de 41 ans, avait accusé le milliardaire de l’avoir utilisée comme « esclave sexuelle » au tournant des années 2000. Elle avait aussi conclu un accord avec le prince Andrew, accusé d’agression sexuelle quand elle était mineure.
Depuis la mi-mars, 252 Vénézuéliens ont été expulsés au Salvador par l’administration Trump et placés dans une prison de haute sécurité. La plupart n’ont pas de casier judiciaire, et aucun n’a été jugé coupable d’appartenir à une quelconque organisation criminelle.
Pour la première fois depuis janvier, les États-Unis ont transmis une proposition concrète d’accord de paix à la Russie et à l’Ukraine. Elle tient en moins d’une page, est globalement favorable à Moscou, et l’une de ses mesures, concernant la Crimée, pourrait être dévastatrice.
Les pourparlers entre l’Iran et les États-Unis reprennent samedi 26 avril à Oman, en dépit du renforcement des sanctions décidé par l’administration Trump. Et bien que le Guide suprême renonce ainsi à sa promesse de ne plus jamais négocier avec « une puissance satanique ».
L’avocat israélien spécialiste de la défense des droits humains estime que le gouvernement Nétanyahou exploite le traumatisme du génocide nazi et les mutations de la société israélienne pour bâtir un régime autoritaire et poursuivre la guerre, quel qu’en soit le prix.