Longtemps rejeté par les électrices, le parti d’extrême droite FPÖ, favori des élections législatives du 29 septembre, est parvenu, en quelques années, à être presque aussi populaire chez les femmes que chez les hommes, sans véritablement se transformer.
Au terme d’un raid de bombardements massifs à Beyrouth, l’État hébreu a indiqué samedi matin avoir « éliminé » le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. La nouvelle a plongé la région dans l’inconnu et suscité l’indignation des puissances régionales. La France a dit son « extrême préoccupation ».
En dépit de l’affaiblissement du Hezbollah sous les coups de l’armée israélienne, Téhéran n’a toujours pas l’intention de lui venir en aide en attaquant directement l’État hébreu, préférant miser sur ses alliés regroupés au sein de l’« Axe de la résistance ».
Née comme un parti satirique, la formation tente de se construire un profil politique pour entrer au Parlement autrichien dimanche 29 septembre. Mais sa conversion à la politique « sérieuse » est difficile et peu convaincante.
Touchée par les difficultés de l’Allemagne, l’État d’Europe centrale doit faire face à une crise existentielle de son modèle productif et évolue entre récession et stagnation. Une situation qui profite à l’extrême droite, même si la situation économique n’est pas au cœur des débats.
Même si les nombreuses menaces nucléaires proférées depuis le début de la guerre ont perdu de leur pouvoir dissuasif, le chef d’État russe entend lancer un avertissement aux Occidentaux, en pleines négociations sur l’autorisation donnée ou non à Kyiv de frapper la Russie en profondeur.
Selon le média Politico, des soldats mozambicains chargés de protéger une concession de TotalEnergies auraient violé et tué entre 150 et 250 civils au sein du site en 2021. Des ONG appellent à l’ouverture d’une enquête.
La chercheuse Erminia Chiara Calabrese travaille depuis des années sur les combattants, membres et sympathisants du Hezbollah. Elle analyse ici l’effet, sur le parti et sur le Liban, des attaques israéliennes.
Alors que Paris et Washington pressent pour un « cessez-le-feu immédiat » de 21 jours, le premier ministre israélien réplique en demandant à l’armée « de poursuivre les combats avec toute la force nécessaire ».
Si la multinationale du ciment est un jour jugée pour avoir financé l’État islamique en Syrie, ce sera grâce à elles : les juristes à l’origine de cette plainte historique, invitées de « À l’air libre » avec Justine Augier, qui publie « Personne morale », un livre sur l’affaire.
La Cour pénale internationale est saisie du cas de citoyens russes ayant participé à des déportations d’enfants ukrainiens. Le dossier retrace méthodiquement comment Moscou a fait passer de possibles crimes contre l’humanité pour des « missions humanitaires ».
L’armée israélienne a mené mercredi 25 septembre de nouveaux bombardements aériens au Liban, qui ont fait 51 morts et plus de 220 blessés à travers le pays, selon les autorités libanaises. Israël fait planer la menace d’une « entrée » au Liban.
Marwan Chahine, journaliste et enseignant, vient de publier un ouvrage consacré à l’étincelle qui a déclenché la guerre civile libanaise. Pour Mediapart, il analyse les événements actuels à la lumière de l’histoire du pays et des attaques répétées du voisin israélien.
Des milliers de personnes en provenance des régions bombardées du sud du Liban, proche de la frontière avec Israël, de la Bekaa et de la banlieue sud de la capitale s’entassent dans des écoles à Beyrouth. Tandis que l’État est aux abonnés absents.
Les 193 membres de l’Organisation des Nations unies se sont retrouvés mardi à New York pour une nouvelle Assemblée générale. Alors que les troupes israéliennes pilonnent le Liban, António Guterres a jugé que « Gaza est un cauchemar permanent qui menace d’emporter toute la région avec lui ».
La banque centrale chinoise a annoncé une série de mesures monétaires de grande ampleur pour soutenir le crédit, le secteur immobilier et les marchés financiers. Le signe d’une forme de panique de Pékin face à l’affaiblissement de la croissance et à l’épuisement de son modèle économique.