La cour d’assises spéciale a projeté, jeudi, les images de vidéosurveillance qui montrent l’attaque de la promenade des Anglais le 14 juillet 2016. « Des images terribles », a commenté le président de la cour.
L’ancien patron de la section antiterroriste de la brigade criminelle a commenté, mardi, des vidéos de l’attaque de « Charlie Hebdo ». Questionné par la défense, il a justifié l’oubli des carnets de Coulibaly, trouvés à son domicile mais passés à la trappe pendant l’enquête, par le caractère « d’urgence » des perquisitions.
Alors que, pendant des années, la « soutenabilité sociale » des mesures environnementales était un souci permanent des mouvements écologistes, il semble qu’après cet été de chaos climatique ce paradigme ait été dépassé.
Un enquêteur antiterroriste a reconstitué vendredi, devant la cour d’assises, le fil de l’attaque du 14 juillet 2016 en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance de la ville de Nice.
Une responsable de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire a résumé le démarrage de l’enquête devant la cour d’assises spéciale. Le terroriste a laissé de nombreux indices qui accablent ses amis. Sans que l’on sache s’il a sciemment cherché à les compromettre.
Le parquet de Paris a requis un an de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende contre Jean-Yves Adam, ex-haut gradé de la préfecture de police qui comparaissait jeudi pour « trafic d’influence », « violation du secret professionnel » et « recel d’abus de biens sociaux » en compagnie de quatre potentiels complices.
Lors de la deuxième journée d’audience, dans une salle d’audience à moitié vide, le président a posé la question du visionnage des images de l’attaque au camion sur la promenade des Anglais le 14 juillet 2016. « Cela fait partie de ce qu’on va juger. Mais est-ce que cela a un intérêt pour la compréhension des faits ? Pour les accusés ? Pour les victimes ? », s’est interrogé le président.
Jennifer Richard livre le troisième volet de sa fresque des déploiements mortifères de l’impérialisme en Afrique centrale au tournant du XXe siècle. Voici la geste kaléidoscopique de l’ensauvagement du monde par un capitalisme inventeur de la race.
La visite du ministre Gérald Darmanin dans le dernier-né des départements français est la dernière manifestation en date de la gouvernance postcoloniale de ce territoire, analysée dans un ouvrage à paraître dans quelques jours.
Le premier roman de Sarah Jollien-Fardel raconte la vie d’une femme empêchée de vivre. À la fois récit de transfuge, d’emprise patriarcale et d’exploration de la sexualité féminine, c’est une histoire de la violence épurée de tout sentimentalisme.