Jean-Michel Blanquer a fait l’objet de nombreuses critiques ces dernières semaines, notamment de la part du corps enseignant, très remonté. Mais cette mobilisation n’allait pas de soi dans une profession qui avait, en 2017, voté à près de 38 % pour Emmanuel Macron au premier tour.
La décadence de l’Empire américain se traduit par une bataille de gérontes : l’antique Donald Trump attend au tournant le fossile Joe Biden, lui-même sous l’œil de l’antédiluvien juge Clarence Thomas de la Cour suprême. Ainsi se décline le déclin.
Anna Cabana est journaliste. Elle est aussi l’épouse du ministre de l’éducation nationale, avec qui elle est partie à Ibiza. Sur I-24, cela ne l’a pas empêchée d’animer un débat sur le sujet. Sans rien préciser de son statut marital.
Au procès des attentats du 13-Novembre, le premier des accusés à avoir été interrogé sur les faits n’a rien condamné, ni regretté. Celui qui, sans ses activités terroristes, serait un monsieur Tout-le-Monde s’est aussi embourbé dans ses contradictions.
La présidentielle approche et rien ne semble se décanter à gauche. De Taubira à Mélenchon, en passant par Jadot, chacun compte jouer sa partition jusqu’au bout, malgré les appels à l’unité. De quoi désespérer électeurs et militants.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, partie civile et médecin épidémiologiste, analyse les ressorts de la suspension d’audience pour cause de Covid de Salah Abdeslam.
Après un long débat entre respect d’un planning à tenir et sécurité sanitaire à garantir, l’audience a été suspendue pour permettre de déterminer si l’accusé Salah Abdeslam, positif au Covid-19, était contagieux et en état d’assister à son procès.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, détaille l’importance des propos des familles des terroristes.
Le tribunal de Paris a validé, vendredi 17 décembre, la convention signée entre LVMH et le parquet dans l’affaire Squarcini : le leader mondial du luxe accepte de payer une amende de 10 millions d’euros contre l’absence de poursuites. Au grand dam de l’une des victimes du groupe de Bernard Arnault, le député François Ruffin.