Le 27 juillet 1953, il y a 70 ans, un armistice mettait fin à la guerre de Corée. Lee Mi-young, dans un documentaire implacable, « Terre brûlée », énumère les crimes trop peu connus perpétrés par les pilotes américains contre les populations civiles.
Bruce Lee, un jeune acteur sino-américain surtout connu en Asie, rend son dernier souffle le 20 juillet 1973. Il devient au fil du temps une icône de la pop culture mondiale, dressée face à la toute-puissance américaine et aux discriminations. Notre série sur l’année 1973.
Le chantier des conservatoires jongle avec les contraintes : budgétaires, patrimoniales, écologiques et bien entendu pédagogiques. Le tout en impliquant les usagers. Enquête sur des travaux qui reflètent les bouleversements de l’enseignement musical en France.
Notre podcast culturel débat d’« Asteroid City », dernier film de Wes Anderson, du documentaire « Le Vrai du faux » d’Armel Hostiou et de « Rheingold », biopic du rappeur Xatar signé Fatih Akin.
Notre podcast culturel débat de « Manet/Degas » au musée d’Orsay à Paris, de « Senghor et les arts » au Quai Branly et de la proposition de « décoloniser le musée » faite par Françoise Vergès.
Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes se lance dans un prétendu « rééquilibrage » entre métropoles et lieux déshérités. La brutalité de ses décisions inquiète le milieu culturel, auprès duquel nous avons enquêté.
Notre podcast culturel discute d’« Extinction », d’après le roman de Thomas Bernhard, mis en scène par Julien Gosselin, de « L’Amant » et « La Collection », les pièces de Harold Pinter vues par Ludovic Lagarde et de « Sur les ossements des morts », adapté d’un roman de la Polonaise Olga Tokarczuk par le Britannique Simon McBurney.
Le Japon, pays mélomane par excellence, s’avère une étape essentielle pour les musiciens classiques possédant ou recherchant une stature internationale. Chaque tournée demande toutefois une préparation délicate, tant au plan logistique qu’artistique.
Le réalisateur Dominik Moll, lauréat de six César pour son film « La Nuit du 12 », est l’invité de Mediapart. Il revient sur la polémique suscitée par le discours de Justine Triet au Festival de Cannes. Inquiet lui aussi d’une « marchandisation de la culture » et d’une « tendance à la rentabilité à tout prix », le réalisateur regrette le manque d’écoute de la part du gouvernement.
À Paris, l’IMA présente pendant six mois une exposition phare : « Ce que la Palestine apporte au monde ». Son commissaire général, Elias Sanbar, nous entraîne dans une visite guidée pleine de bruit et de poésie, de fureur et d’espérance, d’art et de politique.
S’en prendre à la liberté de parole de la culture, ainsi que s’y emploie la ministre Rima Abdul-Malak pour satisfaire son employeur élyséen, c’est menacer un contre-pouvoir essentiel. C’est saper la démocratie au nom de l’autorité. Tel un Druon sous Pompidou.
Notre podcast culturel débat de « Renfield », variation sur Dracula de Chris McKay, de « Sick of Myself », du Norvégien Kristoffer Borgli, et de « Showing Up », la dernière réalisation de l’Américaine Kelly Reichardt.
Les préoccupations écologiques dans le domaine du spectacle vivant donnent lieu à de multiples concertations au sein d’une structure dédiée : Arviva. Mais le Syndeac, principal syndicat professionnel concerné, ne joue guère le jeu et fait cavalier seul.
Privé de subvention par Laurent Wauquiez pour avoir dénoncé ses méthodes, le metteur en scène Joris Mathieu refuse la personnalisation de son affaire par la Région : « C’est un problème de fond qui touche l’ensemble des structures de notre région depuis un an. »
Quatre villes françaises, Rouen, Bourges, Clermont-Ferrand et Montpellier, sont en lice pour devenir, en 2028, Capitale européenne de la culture. Qu’en est-il de ce label incertain, conféré dans l’indifférence, ignoré du grand public, faiblement doté, mais pas sans conséquences ni reconnaissance ?
Notre podcast culturel discute de « Théorème / Je me sens un cœur à aimer toute la terre » d’Amine Adjina et Émilie Prévosteau, des « Caravelles et des batailles » d’Eléna Doratiotto et Benoît Piret et de « Kap O Mond’ », signé Olivier Coulon-Jablonka.