Journaliste et responsable du pôle politique de Mediapart.
En charge de l’animation de la couverture éditoriale sur les extrêmes droites. Pour nous écrire : extremedroite@mediapart.fr
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
La maire LR de Puteaux a sous-évalué pendant des années la valeur de sa maison pour réduire le montant de son impôt de solidarité sur la fortune. Après nos révélations sur ses lingots d'or, Joëlle Ceccaldi a été lâchée par Nicolas Sarkozy et a perdu sa place aux régionales.
Mediapart lance “Mediafact”, une émission de décryptage du discours politique. Pour cette première, la rédaction a passé en revue les plus gros mensonges proférés ces dernières semaines à droite comme à gauche sur les réfugiés.
Pendant trois jours, alors que les ténors de LR (ex-UMP) se contentaient de se désolidariser des propos de Nadine Morano sur « la race blanche », les centristes, alliés aux modérés du parti, s’activaient en coulisses pour lui retirer son investiture aux régionales. Nicolas Sarkozy a fini par céder.
Entre l’échéance de la primaire, la menace du Front national et l’ultra-droitisation de Nicolas Sarkozy, les parlementaires LR (ex-UMP) peinent à trouver des propositions novatrices et à créer une dynamique. Ce qui ne les empêche pas de gagner toutes les élections, font-ils remarquer.
En validant à plus de 90 % chacune de ses propositions sur l’immigration, le noyau dur de LR (ex-UMP) a donné un blanc-seing à Nicolas Sarkozy, qui continue de braconner sans complexe sur les terres de Marine Le Pen.
Nicolas Sarkozy y a passé ses vacances. Politiques, grands patrons et vedettes y séjournent régulièrement. Mais ils ne sont pas les seuls... La justice soupçonne le domaine de Murtoli d’abriter des figures du milieu corse. Son propriétaire vient d'être mis en examen pour “recel de malfaiteurs”.
La question de l’accueil des réfugiés, comme bien d'autres avant elle, divise à droite. Elle témoigne du fourre-tout idéologique qu’est devenu le parti dirigé par Nicolas Sarkozy.
Faisant mine de se désintéresser de la primaire qui désignera le candidat de la droite pour 2017, Nicolas Sarkozy soigne en sous-main sa stratégie pour remporter le scrutin. Avec trois vieilles recettes : gagner du temps, mépriser ses adversaires et construire un semblant de programme sur le terreau de l'extrême droite.
Depuis la parution des photos de l'enfant syrien, la droite française se heurte à ses propres contradictions. Engoncé dans ses positionnements électoraux et sa quête des électeurs FN, le parti de Nicolas Sarkozy peine à trouver un équilibre. Et sombre, une fois de plus, dans le grand n'importe quoi.
On nous avait promis un grand rassemblement, des travaux de fond en comble et des propositions novatrices destinées à préparer l’alternance en 2017. On se retrouve avec des querelles d’égos, un parti morne et des idées recyclées. Un an après le retour de Nicolas Sarkozy, la droite attaque sa rentrée en redoublant son année.
Depuis plusieurs semaines, l’ancien président multiplie les déplacements à l’étranger. Il était en Tunisie lundi et prévoit de se rendre en Inde, en Arabie saoudite, en Chine et même en Russie. L’objectif : « préparer l’alternance. » Quitte à critiquer l’action de son successeur et provoquer quelques remous diplomatiques. À l’Élysée, on jure y rester indifférent.
On les entend beaucoup moins que les militants LR qui hurlent « Nicolaaas » en meeting. Pourtant, ils représentent ces millions d’électeurs que le parti espère rassembler pour sa primaire de 2016. Mediapart donne la parole à des élus de terrain.
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Six mois après les révoltes en Nouvelle-Calédonie, Mediapart est parti à la rencontre des indépendantistes kanak, en tribu, dans les quartiers populaires de Nouméa, mais aussi en « brousse », au nord de la capitale. Avec pour objectif de donner la parole à celles et ceux qui en sont d’ordinaire privés.
Mediapart lance « L’Œil de la recherche », une série de chroniques pour analyser les dynamiques des extrêmes droites françaises, européennes et mondiales. Loin des petites phrases, des coups de com’ et des bavardages.
Reportage, analyses, enquêtes... Dans le cadre du renforcement de sa couverture éditoriale sur les extrêmes droites, Mediapart a choisi d’investir deux postes d’observation dans lesquels elles sont au pouvoir : au gouvernement en Italie et à la tête de certaines municipalités dans le sud de la France.
Dans un contexte de plus en plus alarmant, Mediapart renforce encore sa couverture des extrêmes droites et lance une newsletter dédiée dans laquelle vous pourrez retrouver, chaque mois, nos enquêtes, nos reportages, nos analyses, mais aussi des rendez-vous inédits afin de casser la vitrine de la « normalisation ».
L’enquête préliminaire contre X..., ouverte en janvier 2013 à la suite d’une plainte pour « détournement de biens publics », déposée par un militant écologiste contre le député et maire UMP de Nice, a été classée sans suite le jeudi 7 novembre. Le plaignant pointe du doigt « les étonnantes conclusions des enquêteurs ».