Alors que les yeux sont tournés vers les manifestations pro-démocratie en Israël, Mediapart raconte sept jours d’occupation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Les Palestiniens sont ceux qui souffrent le plus de la politique du gouvernement Nétanyahou.
La garde présidentielle détient depuis mercredi 26 juillet le président Mohamed Bazoum. Les forces armées se sont ralliées au coup d’État, dont les raisons demeurent mystérieuses. C’est le quatrième putsch en Afrique de l’Ouest en trois ans.
Le Parlement israélien a voté la loi réduisant le pouvoir de la Cour suprême, malgré un mouvement de protestation inédit. La bataille entre les deux camps concerne la nature de l’État et souligne les contradictions d’Israël.
L’Américaine Fiona Scott Morton a renoncé à prendre son poste de cheffe économiste à la Direction de la concurrence. Retour sur une semaine de manœuvres qui ont contré cette nomination.
Trois ans après la normalisation de leurs relations, Israël reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental. Un geste qui permettra aux deux pays de pousser leurs pions respectifs sur la scène internationale.
La nomination de Fiona Scott Morton, une Américaine professeure d’économie et ancienne employée de grandes entreprises de la tech à un poste important à la Direction de la concurrence fâche les eurodéputés et jusqu’aux commissaires.
Narendra Modi est cette année l’invité d’honneur du 14 Juillet. Une partie de la diaspora indienne critique fermement cette initiative d’Emmanuel Macron. Pour eux, c’est une gifle aux défenseurs d’une Inde respectueuse de tous ses citoyens.
Ce 7 juillet marque les six mois de détention, dans les prisons des talibans, de notre confrère franco-afghan Mortaza Behboudi. Un compteur a été installé sur la façade de la mairie de Paris-Centre et un bateau est parti du Finistère.
Le meurtre de George Floyd, tué par un policier blanc en 2020, a débouché sur une prise de conscience des violences policières et un vaste mouvement de demande de réformes de la police. Certaines ont été mises en œuvre, mais le bilan est mitigé.
Depuis le déclenchement de la guerre entre les généraux le 15 avril, les initiatives diplomatiques se multiplient, en ordre dispersé et sans aucun résultat tangible. La situation sur le terrain se détériore de jour en jour, la communauté internationale persiste dans son erreur : considérer les belligérants comme parties de la solution.
La guerre qui déchire le pays depuis la mi-avril n’épargne pas la région du Darfour. Comme à Khartoum, les deux armées ennemies y possèdent des bases et des hommes. Les hôpitaux sont détruits et pillés, les marchés brûlés, les biens volés, et des populations sont en fuite.
Depuis bientôt trois semaines, les deux généraux les plus puissants du pays et leurs armées s’affrontent. Les combats se concentrent dans Khartoum, la capitale. Des dizaines de milliers d’habitants ont fui la métropole. D’autres restent. Récits.