Gwenaelle Lenoir

Tous ses articles

  • Centrafrique: les élections quoi qu’il en coûte

    Afrique(s) — Reportage

    Les scrutins présidentiel et législatifs, promus par la communauté internationale, ont été maintenus, dimanche 27 décembre. À Bangui, les électeurs semblent au rendez-vous. Mais ailleurs, dans le pays, la situation est extrêmement confuse. Reportage.

  • La Centrafrique subit une crise sans fin

    Afrique(s) — Reportage

    La situation en Centrafrique s’est dégradée à tel point que la tenue dimanche 27 décembre des élections présidentielle et législatives, appuyées, payées et sécurisées par la communauté internationale, semble impossible hors de la « bulle » Bangui.

  • Au Soudan, le gouvernement de transition s’engage sur le chemin de la paix

    Afrique(s)

    Samedi, le gouvernement de transition soudanais et les mouvements rebelles doivent signer plusieurs documents pour mettre fin à des conflits dont les causes se perdent dans l’histoire du pays. Mais des mécanismes de suivi manquent.

  • Au Darfour, la guerre mal éteinte est un défi pour les nouvelles autorités

    Afrique(s) — Reportage

    Moins de vingt ans après une politique de la terre brûlée et des épurations ethniques de grande ampleur, cette région de l’ouest du Soudan n’est pas pacifiée. Il suffit d’un rien pour enflammer les esprits et faire parler les armes.

  • Au Soudan, les comités de résistance veillent sur la transition (et le virus)

    Afrique(s) — Reportage

    Les unités de base de la révolution, qui rassemblent des jeunes venus de tout le pays, se sont dotés d’une assemblée centrale de 150 membres. Sans être formellement dans les instances de transition, ils se sont mis à la disposition du ministère de la santé face à la pandémie.

  • Le Soudan post-révolutionnaire vit une situation volatile et incertaine

    Afrique(s) — Reportage

    Cela fait plus de six mois que le Soudan est dirigé par un gouvernement arrivé au pouvoir par la volonté de la rue. Mais la tentative d’attentat à laquelle a échappé le premier ministre Abdallah Hamdok lundi montre que, pour certains, le coup de force est toujours possible.