Après avoir suivi l'extrême droite à Mediapart quelques années, je m'intéresse désormais au logement et à l'urbanisme.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Face au pouvoir qui a préempté le libéralisme et la « modernité », certains à droite estiment que leur famille doit se reconstruire dans le conservatisme. Laurent Wauquiez, qui s’apprête à prendre la présidence des Républicains, s’arrime à cette mouvance réactionnaire.
Après leur lourde défaite électorale, Les Républicains envisagent la création d’une fondation pour renouveler leur réflexion politique. Et, accessoirement, empêcher leur parti, ruiné et cerné par les affaires, de mettre la clé sous la porte.
Atomisée depuis la victoire d’Emmanuel Macron, la droite fait sa rentrée en ordre dispersé. Derrière les discours sur la nécessaire refondation du parti LR pointent déjà les ambitions des uns et des autres pour en prendre le contrôle en décembre prochain. Le coup d’envoi est donné par les Jeunes Républicains, réunis au Touquet les 26 et 27 août.
Encore sonnés par leur défaite électorale, et toujours pas remis du hold-up de Macron sur leurs électeurs, Les Républicains ont commencé un travail de réflexion qui devrait se poursuivre jusqu’à l’automne. En plein doute existentiel, la droite sait qu’elle doit profondément se renouveler pour ne pas disparaître.
Le président du groupe LR, Christian Jacob, a admonesté ses anciens camarades qui ont rejoint Emmanuel Macron. À gauche, le groupe PS s'est abstenu, la France insoumise s'est opposée d'un bloc. Le PCF a dû, lui, composer avec les ultramarins.
Après l’avis du Comité d’éthique sur la PMA et la GPA, le débat sur l’homoparentalité et sur la filiation n’a pas tardé à resurgir. L’historienne américaine Camille Robcis décortique dans un livre les spécificités du débat français. Un débat où se mêlent tradition familialiste issue du catholicisme et universalisme républicain.
Le groupe des « constructifs », des députés de droite désireux de travailler avec le gouvernement, s'est réuni ce mercredi. La création de ce groupe dissident vient acter les divisions de la droite.
La vague Macron n’a pas totalement submergé la droite. L’alliance LR-UDI obtient 130 sièges et peut se satisfaire d’être, de très loin, la principale force d’opposition, même si les divisions internes sont déjà apparues. Le FN est loin de ses objectifs et n'aura probablement pas de groupe.
Guillaume Peltier est de retour. Le cofondateur de La Droite forte espère faire dimanche son retour sur la scène nationale en étant élu député dans la 2e circonscription du Loir-et-Cher. Mais l’ombre d’une mystérieuse candidature, qui a pris des voix à son principal adversaire, plane sur la fin de sa campagne.
Les Républicains et l’UDI devraient voir le nombre de leurs députés divisé par deux. Face à l’effondrement du PS et au petit score du FN, la droite se pose pourtant en seul parti d’opposition à l’hégémonie macroniste. « Il y a tout à refaire », assure Jean-François Copé, annonçant les grandes batailles des mois à venir.
Gauche, droite, écologistes, majorité présidentielle : Mediapart passe en revue les lignes de force de ce premier tour des législatives, dimanche 11 juin.
La droite parisienne, qui espérait il y a quelques mois prendre sa revanche à Paris après le ratage du quinquennat Hollande, aura sans doute du mal ne serait-ce qu’à se maintenir dans ses bastions de l’ouest parisien. Dans la ville qui a plébiscité Macron, la droite est déjà en miettes.
Tous ses billets de blogs
Le Club de Mediapart
Participez au débat
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Dans un podcast en forme de coup de poing, l’artiste Catherine Perrocheau donne à entendre l’immense lassitude de ceux qui au quotidien accompagnent les sans-abris, confrontés à leur impuissance grandissante face à l’abandon des pouvoirs publics.
La Manif pour tous a refusé d’accueillir Mediapart pour l’université de rentrée de «Marchons enfants» qui a lieu ce 21 septembre à Port-Marly (78). L’événement était officiellement «ouvert à tous». Un boycott qui en dit long sur ce qu’est ce mouvement.
L’hebdomadaire qui publiait ce dimanche une tribune appelant le président à se saisir de la question des violences faites aux femmes, laissait paraître à quelques pages d’intervalle un édifiant article, monument de sexisme ordinaire.
Une « enquête à charge », des « accusations ni étayées, ni documentées », pire « un tas de ragots »…Jean-Loup Salzmann qui a donné une interview à l’Etudiant suite à la parution de notre enquête « Le vice-ministre des universités entre en zone de turbulence» n’a visiblement pas apprécié que Mediapart se penche sur le fonctionnement de son université.
Dans la crise du système scolaire, on oublie complètement de se pencher sur le manque de culture financière des jeunes enfants du primaire. Pas un mot dans les programmes de CP sur ce qu'est une action, nulle définition des taux d'emprunts… Rien.