Né en 1980 à Périgueux (Dordogne). A Mediapart, j'ai suivi l'actualité économique et sociale, la révolution tunisienne, le quinquennat de François Hollande, raconté l'OPA d'Emmanuel Macron sur la présidence de la République, couvert le mandat Trump depuis les Etats-Unis.
Désormais responsable et animateur d'A l'air libre, l'émission en accès libre de Mediapart.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Lieutenant de Martine Aubry, le député est un des animateurs de la contestation parlementaire contre le gouvernement. Il juge que l'équipe «Valls-II» ne «reflète pas la majorité qui a élu François Hollande en juin 2012» et appelle à un congrès rapide du PS.
Le nouveau gouvernement dirigé par Manuel Valls, annoncé ce mardi 26 août, reste à la main du chef de l’État. Le premier ministre n’a pas réussi à imposer ses proches. Michel Sapin et Emmanuel Macron, deux fidèles de François Hollande, dirigent désormais l'ensemble de la politique économique.
Manuel Valls et François Hollande entendent «clarifier» la ligne du gouvernement. Mais ce «coup de force» qui fait éclater au grand jour la fracture au sein de la majorité annonce des lendemains difficiles pour le pouvoir socialiste.
Le tonitruant nouveau président du Conseil italien intéresse François Hollande, attire Manuel Valls. Mais il laisse sceptique une grande partie du PS. Et consterne la gauche de la gauche.
Après les violences du week-end, associations, syndicats et partis de gauche appellent à manifester ce mercredi « en solidarité » avec la Palestine. Le PS n'appelle pas à manifester, au grand dam de certains élus et militants. Chez les écologistes, l'appel à défiler ne fait pas l'unanimité.
Les députés ont commencé d’examiner mercredi la future carte des régions, élaborée à la hâte sous la pression du chef de l’État. La discussion va durer des mois. Hollande en fait un symbole de sa volonté modernisatrice mais le parcours est semé d’embûches.
Le Parlement a autorisé mercredi la désignation pour six ans de l'ancien ministre RPR au poste de Défenseur des droits. Le choix inattendu de François Hollande a été validé, y compris par certains élus de gauche. « On est chez les fous ! » lâche un député PS.
Les députés ont voté ce mardi 8 juillet le « pacte de responsabilité et de solidarité » de François Hollande, qui contient des baisses massives de cotisations sociales pour les entreprises. 35 socialistes se sont abstenus, aucun n’a voté contre. Plusieurs d’entre eux dénoncent le « virage idéologique » de l’exécutif des derniers jours.
La discussion sur cette mesure emblématique de la nouvelle politique économique de François Hollande a été vive cette semaine. Le vote, mardi 8 juillet, sera une épreuve de vérité pour le gouvernement et les contestataires socialistes. Instantanés.
Le dernier décret d’application de la loi sur la transparence de la vie politique a enfin été publié malgré les réticences de Bercy. Il oblige les membres des autorités administratives économiques, comme l'Autorité des marchés financiers, à ne plus gérer eux-mêmes leur patrimoine personnel.
Auditionné ce mardi à l’Assemblée, l’ancien hussard du RPR proposé par François Hollande pour devenir Défenseur des droits a un peu battu sa coulpe. Des élus de gauche lui reprochent son parcours et ses votes passés ? Il « n’est pas l’homme que certains disent ». Aucun suspense : il sera bien désigné le 9 juillet.
Finie l’unanimité derrière l’ancien leader de l’UMP. Après l’affaire Bygmalion, la garde à vue de Nicolas Sarkozy renforce les doutes au sein de son parti. Ils sont de plus en plus nombreux à penser que, coupable ou non, il ne sera plus en mesure de représenter la droite en 2017.
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Ce 11 mai, la France entame son déconfinement. Le virus est toujours là, beaucoup reprennent le travail, les écoles ouvrent timidement, les difficultés sociales s'amoncellent. « A l'air libre », l'émission vidéo de Mediapart a besoin de vos témoignages. Racontez-nous votre quotidien!
Le coronavirus nous déboussole, nous saisit, nous terrifie, nous confine, change nos vies. Témoignez dans notre émission vidéo quotidienne « À l’air libre ».
Donald Trump vient de menacer de taxer les importations mexicaines d'ici le 10 juin « si le problème de l'immigration illégale n'est pas résolue ». Le président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, a répondu avec ironie. Et en lui rappelant les règles élémentaires de la « non-violence » et de la diplomatie. Voici sa lettre, traduite en français.
Jeudi, Emmanuel Macron m'a sermonné. Publiquement, devant des centaines de journalistes et tous ses soutiens réunis. Il m’a donné du « cher ami », cette expression qui suggère la condescendance avec politesse. M’a reproché de « faire le lit du Front national ».
Le soir, il est rare que je rentre chez moi en tremblant. C'est pourtant arrivé mercredi soir. Je ne revenais pas d'un terrain de guerre. Je n'avais pas passé ma journée à parler à des rescapés de la tuerie de vendredi. Ce soir-là, je rentrais juste de l'Assemblée nationale.