La recherche de responsables va bon train après la défaite sans appel de Kamala Harris. Le couperet tombe sur un programme déconnecté de l’électorat populaire, et une candidate incapable de se démarquer du président Biden.
Donald Trump a profité d’un vote sanction contre les démocrates. Il progresse partout dans le pays, et singulièrement dans l’électorat hispanique. En face, Kamala Harris n’a pas su mobiliser suffisamment sa base, chez les femmes et les minorités.
L’élection de Donald Trump sonne la victoire du suprémacisme blanc aux États-Unis. Dans un climat de fin du monde, ses répercussions au-delà des frontières américaines sont effarantes : elles fragilisent les démocraties, les femmes et les minorités du monde entier, tandis qu’elles confortent l’extrême droite et les dictateurs de tout poil.
Les déclarations passées de Donald Trump et de son colistier dessinent un sombre avenir pour Kyiv, possiblement privé d’aide et contraint à un accord avec Moscou. Mais les Ukrainiens veulent croire que l’histoire peut encore prendre un cours différent.
Le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis ouvre une période d’incertitudes pour le Proche et le Moyen-Orient. Connu pour être un fervent pro-israélien, Trump l’est aussi pour son goût immodéré des « deals ».
Chaque fois qu’il a affronté une femme à la présidentielle, Donald Trump a gagné. Cette fois, il l’a même emporté en menant une campagne viriliste, hostile aux droits des femmes et des personnes LGBTQ+ et d’une misogynie crasse.
Soutien omniprésent de Donald Trump, le milliardaire est appelé à avoir un statut à part aux côtés du futur président. Au-delà de la défense de ses intérêts et de ceux des géants du numérique, le milliardaire ne cache plus ses ambitions politiques pour promouvoir sa vision du monde.
Beaucoup d’États-Uniens ont sanctionné par leur vote le bilan économique de Joe Biden. Les démocrates ont trop souvent refusé cette réalité au nom des chiffres flatteurs de la croissance. Oubliant les difficultés du quotidien vécues par les citoyens moyens. Ils en paient le prix fort.
L’ancien président républicain est sur le point de remporter la présidentielle états-unienne pour la deuxième fois. Sa rivale démocrate plaçait encore ses derniers espoirs dans les trois États clés restants. Les républicains ont également repris le contrôle du Sénat.
Donald Trump a été élu mardi 5 novembre 47e président des États-Unis. Il aura à sa main un Sénat à majorité républicaine. La majorité à la Chambre des représentants reste encore disputée.
Dans la région de Valence, les inondations meurtrières ont touché les villes de banlieue modeste. Les habitants ont perdu maison, voitures, travail… Une semaine après la catastrophe climatique, élus, résidents et militants craignent une crise sociale d’ampleur.
Depuis un mois, la zone est soumise à une offensive d’une violence extrême. Les dirigeants israéliens affirment vouloir venir à bout du Hamas mais semblent bien décidés à chasser les derniers habitants, ou à les tuer.
La Pennsylvanie est la fois un modèle réduit, un symbole et un pivot des États-Unis. L’endroit où fut fondée la démocratie américaine pourrait bien être le même qui la verrait s’éteindre ce 5 novembre. Rencontre avec celles et ceux qui en décideront.
Notre récit en direct de l’élection du 47e président des États-Unis avec nos correspondants sur le terrain en Floride, à New York, en Pennsylvanie et en Caroline du Nord.
La réélection pour quatre ans de Donald Trump annonce-t-elle une présidence fascisante ? Mercredi à 19 heures et en direct, retour sur l’élection présidentielle avec l’historienne Sylvie Laurent et les journalistes de Mediapart aux États-Unis.
À Bruxelles, les institutions se disent davantage préparées qu’en 2016 à une victoire du républicain. Et qu’elles sauront répliquer, en cas de guerre commerciale ou d’arrêt du soutien à l’Ukraine. Mais Trump peut aujourd’hui compter sur de fervents soutiens au cœur de l’Europe.