Union, union, union. La panne de François Fillon a ravivé ce week-end le débat sur les relations entre le PS façon Hamon et la gauche version Mélenchon. On est loin du rapprochement.
« Coup d’État institutionnel ». Plus François Fillon s’enfonce et plus il invoque une attaque contre l’État et les institutions au travers de sa personne. Le problème, c’est qu’à brandir les grands principes, il les piétine en même temps.
Entre film de guerre et comédie musicale, expérimentation numérique et sagesse hindoue, Un jour dans la vie de Billy Lynn, sorti mercredi 1er février, est l'occasion idéale pour chanter les louanges de son auteur, cinéaste à nul autre pareil dans le paysage contemporain : Ang Lee.
Les idéologies nauséabondes nées à l’extrême droite se diffusent et se banalisent de plus en plus, surtout depuis les activités numériques et frénétiques de la « fachosphère ». Le « grand remplacement » est l’une d’elles. Les détricoteuses proposent leur contre-poison.
François Bayrou avait trois possibilités : soutenir Fillon, aider Macron, ou se présenter lui-même. Depuis hier soir, il n’en a plus que deux. Fillon c’est non, Macron c’est pas sûr, et lui-même c’est à voir.
Didier Porte a regardé le reportage du 19/20 de France 3 consacré, le 6 janvier 2017, à la lutte contre l'absentéisme dans les collectivités locales. Ou comment « la banalisation du Front national dérive inévitablement vers la complaisance », démontre l'humoriste.
La télévision hait le mouvement qui déplace les lignes. Elle chasse à coups de canne les trublions, surtout s’ils sont de gauche. Dimanche soir, on se serait cru avec les émigrés de Coblence pendant la Révolution française! À n’en pas croire ses oreilles…