« Primaire de la gauche », de la « Belle alliance populaire », primaire « citoyenne » même. Derrière ces noms se cache une primaire des ministres PS de Hollande : Valls, Hamon, Montebourg et Peillon.
Les jeunes ne savent plus écrire ni compter, les instituteurs n'ont plus d'autorité et il faut revenir au port de l'uniforme : un discours en sépia sur l'école se répand sur les ondes. Ce qui a le don d'agacer nos deux historiennes.
En assemblant des fragments du Feydeau aigu et cruel des ultimes pièces, Georges Lavaudant donne à découvrir, au théâtre de l'Odéon, en un spectacle d'une heure trente, l'essentiel d'une œuvre saisissante, moderne, inattendue…
« On m'a imposé le 49-3. » Au-delà du sort de la primaire, la formule de Manuel Valls est appelée à entrer dans le panthéon des petites phrases. Elle rejoindra celle des Guignols de l'info faisant dire à Richard Virenque qu'il s'était dopé à l'insu de son plein gré.
On s’habitue à tout, même à Dieu en République. La laïcité est un sujet passionnel dans la campagne présidentielle. Pourtant, quand François Fillon mélange sa foi et son programme, la gauche ne le remarque pas.
Rohân Houssein, rappeur géopoétique franco-syrien du collectif « On A Slamé Sur La Lune », slame ses états d'âme au lendemain de la fin de la bataille d'Alep.
La fin de l’année 2016 a connu l’habituel pic d’affluence en mairie pour l’inscription sur les listes électorales. Comme Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon tente de conquérir ces primo-votants. Cette course à la séduction passe-t-elle par une course à l’audience sur YouTube ?