Mathilde Mathieu

47 ans. À la création de Mediapart, j'ai d’abord suivi le Parlement, puis j’ai rejoint le service Enquêtes. Mes sujets de prédilection pendant des années : l'argent des élus et des partis, la corruption, la transparence, les conflits d'intérêts... De 2018 à 2019, je me suis consacrée à des sujets sur les migrations. Puis j’ai intégré la direction éditoriale élargie, de 2019 à 2023, comme responsable du pôle Société. Désormais, je me penche sur les droits des enfants et les violences qui leur sont faites.

Pour m’écrire : mathilde.mathieu@mediapart.fr

Déclaration d’intérêts

Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.

Consultez ma déclaration d’intérêts

Tous ses articles

  • La médiatisation des voyages présidentiels coûte de plus en plus cher

    France

    La Cour des comptes a rendu public, jeudi 15 juillet, son rapport sur le budget 2009 de l'Elysée. Elle souligne les «progrès sensibles» de la présidence, en matière de maîtrise des dépenses. Au fil des pages, se dégage toutefois le portrait d'un chef d'Etat obsédé par son image.

  • Nicolas Sarkozy a aussi son parti de poche

    France

    Cet article a été censuré Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

  • Nicolas Sarkozy se lave de tout soupçon

    Transparence et probité

    Nicolas Sarkozy a estimé, lundi 12 juillet, dans son interview à France 2, qu'Eric Woerth était «lavé de tout soupçon». Si le ministre du travail est confirmé à son poste, un gouvernement resserré est annoncé pour la «fin octobre».

  • Financement politique : trucs, astuces et limites de la commission nationale de contrôle

    Financement de la vie politique

    Pour comprendre comment l'argent des partis est contrôlé, Mediapart a rencontré le président de la commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, François Logerot. «Nous n'avons pas de pouvoir d'investigation», explique-t-il. «Par définition, des remises d'argent en espèces ne se trouvent pas dans les comptes d'un parti!»

  • Comment les partis politiques se financent

    France

    Depuis les affaires politico-financières des années 1980 et 1990, le financement de la vie politique a été largement encadré. Les dons, en particulier, sont plafonnés. Mais les moyens existent d'«optimiser» la loi... Explications.

  • Le chèque de Liliane Bettencourt met le feu à l'Assemblée nationale

    France

    Les députés PS ont interrogé le gouvernement, mercredi, sur le chèque que Mme Bettencourt aurait versé à l'Association de soutien à l'action d'Eric Woerth, ce micro-parti au service du ministre du travail, dont Mediapart a dévoilé l'existence. Nous publions (après les comptes de 2008) les statuts de ce parti, présidé par l'une des plus proches collaboratrices d'Eric Woerth.

  • Dans l'Oise, le parti de poche d'Eric Woerth

    France — Enquête

    Cet article a été censuré Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

  • Eric Woerth tout droit dans de drôles de bottes

    France

    Cet article a été censuré Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

  • Pourquoi les homos de droite ont viré le parti présidentiel de la Gay Pride

    France

    Cette année, l'UMP n'était pas représentée à la Gay Pride, la Marche des fiertés LGBT, qui a rassemblé plusieurs centaines de milliers de manifestants à Paris, samedi. Les homos de droite reprochent au gouvernement d'avoir jeté les promesses de 2007 à la poubelle.

  • Bettencourt et ses financements : les questions auxquelles le pouvoir ne veut pas répondre

    France

    Cet article a été censuré Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

  • Jean-Luc Hees en 2009 : « Je ne mettrai pas Guillon à la porte »

    Médias

    En avril 2009, Jean-Luc Hees, candidat désigné par Nicolas Sarkozy pour prendre la tête de Radio France, avait donné des garanties aux députés, qui l'interrogeaient sur le cas Stéphane Guillon. «C'est un garçon qui a beaucoup de talent, que je ne mettrai pas à la porte», avait-il assuré. Vidéo.

  • Et pendant ce temps, Nicolas Sarkozy pose une main sur l'épaule de François Bayrou...

    France — Reportage

    Loin des scandales visant ses ministres, Nicolas Sarkozy s'est déplacé, mardi 22 juin, sur les terres de François Bayrou. Il lui a tendu la main, mettant le patron du Modem dans l'embarras. «Je n'ai pas changé de ligne!», a juré le leader centriste.

Tous ses billets de blogs

Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.

Mathilde Mathieu (avatar)

Mathilde Mathieu

Journaliste à Mediapart

49 Billets

2 Éditions

  • Balkany et son ancien bras-droit flashés à Saint-Tropez

    Billet de blog

    Et de trois. Une fois de plus, Patrick Balkany et son ancien bras-droit, Jean-Pierre Aubry, tous les deux mis en examen pour « blanchiment de fraude fiscale » (entre autres) et soumis à un strict contrôle judiciaire qui leur interdit de se rencontrer, se retrouvent au même moment, au même endroit, sur la même photo. Par hasard, sans aucun doute.

  • Frais des députés : l'appel de Londres

    Billet de blog

    Pour Pièces à conviction, le journaliste Stéphane Girard a fait le reportage que Mediapart aurait dû réaliser depuis cinq ans. Consacrée aux abus dans les coulisses de l’Assemblée nationale, son enquête, diffusée ce mercredi à 23h10 sur France 3, nous embarque à Londres pour une plongée dans le (contre)-modèle britannique. 

  • Le député Tian et son compte en Suisse : déjà une semaine, ne les oubliez pas

    Billet de blog

    Voilà déjà une semaine que le député UMP Dominique Tian a reconnu publiquement, contraint et forcé, avoir planqué un compte en Suisse pendant des années. Voilà déjà une semaine que ce pourfendeur patenté de la fraude sociale (celle des autres, celle des « gagne-petit » qui grugent le RSA ou les allocs) a confessé avoir soustrait plus de 1,5 million d’euros au fisc français, avant de profiter d’une circulaire indulgente pour rapatrier discrètement ses billes en 2014. Et rien ne se passe ou presque.

  • Argent du candidat Sarkozy : Mediapart défend la transparence devant le conseil d'Etat

    Billet de blog

    Mediapart ne lâchera rien. Les citoyens ont le droit de savoir comment le financement des campagnes électorales est contrôlé en France. Avec quelle ardeur, quelle légèreté ou quel aveuglement. Alors que les révélations se multiplient sur les trucages opérés lors de diverses présidentielles, les documents relatifs aux instructions menées par la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) sont toujours tenus au secret. En ce vendredi 13 mars, les choses pourraient basculer.

  • A Balkany-city, le monde est petit

    Billet de blog

    La fortune les abandonne. Hier, Patrick Balkany (mis en examen pour « corruption » et « blanchiment de fraude fiscale ») et son bras-droit Jean-Pierre Aubry (mis en examen pour « complicité de corruption » et « blanchiment de fraude fiscale ») ont manqué de chance : ils ont été repérés discutant devant L’Anjou, un restaurant de Levallois-Perret, alors que le contrôle judiciaire auquel est soumis le second lui interdit de rencontrer le premier –précisément pour éviter qu’ils n’échangent sur l’information judiciaire en cours, menée par les juges Renaud van Ruymbeke et Patricia Simon.