Journaliste au pôle Enquêtes, j'ai rejoint Mediapart en janvier 2011, après avoir été pigiste à Libération (1986-1987), reporter spécialisé justice au Parisien (1988-1998), et grand reporter en charge de l'investigation au Journal du Dimanche (1999-2010).
J'ai publié plusieurs livres: "Un magistrat politique. Enquête sur Jean-Claude Marin, le procureur le plus puissant de France" (Pygmalion, 2015), "Qui veut la mort du juge d'instruction?" (Les Carnets de l'Info, 2007), et "Adjugé, volé. Chronique d'un trafic à Drouot" (Max Milo, 2011).
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Le parquet de Paris fait appel de la relaxe prononcée en faveur de la banque Landsbanki. Après une faillite retentissante en 2008, une filiale de cette banque islandaise et ses dirigeants, jugés à Paris pour escroquerie et abus de confiance aggravé, avaient été relaxés le 28 août.
Le parquet de Paris estime que les accusations de faux témoignages lancées par François-Marie Banier contre l’ex-comptable Claire Thibout et d’autres anciennes employées de Liliane Bettencourt, l’héritière de l’empire L’Oréal, ne tiennent pas la route.
Après une faillite retentissante en 2008, une filiale de la banque islandaise Landsbanki et ses dirigeants étaient jugés à Paris pour escroquerie et abus de confiance aggravé. Le tribunal les a relaxés lundi 28 août, à la surprise générale, désavouant l’instruction du juge Renaud Van Ruymbeke.
Une enquête préliminaire est en cours sur un SMS menaçant adressé par le ministre Gérald Darmanin au député-maire du Touquet Daniel Fasquelle, sur fond de brouille politique.
Le premier vice-président Claude Choquet a saisi le tribunal administratif pour pouvoir rester à son poste, ce que lui refuse le ministère de la justice.
Malgré le renvoi en correctionnelle de quatre policiers, les conclusions du parquet et de l’IGPN ne satisfont pas les familles et les avocats des 18 adolescents qui avaient porté plainte après une longue série de violences policières commises dans le XIIe arrondissement.
L'ancien diplomate sarkozyste a été condamné, vendredi 7 juillet par le tribunal correctionnel de Paris, à un an de prison avec sursis et à l’interdiction d’exercer une fonction publique pendant cinq ans. Il avait été arrêté en juillet 2013, lors d’un contrôle inopiné des douanes gare du Nord, avec un sac de sport contenant 350 000 euros et 40 000 dollars en grosses coupures.
Le parquet national financier a requis trois ans d’emprisonnement, 30 millions d’euros d’amende ainsi que la confiscation des biens saisis contre Teodorin Obiang, le vice-président de Guinée équatoriale, jugé pour blanchiment à Paris.
Le « Livre noir du ministère public », présenté ce 4 juillet par la Conférence nationale des procureurs de la République, dresse un constat inquiétant de l'institution judiciaire et avance des propositions concrètes. Mediapart le publie intégralement.
Après la plainte de 18 adolescents fin 2015 contre un groupe de policiers violents du XIIe arrondissement de Paris, quatre d'entre eux viennent d'être renvoyés en correctionnelle par le parquet de Paris, pour «violences par personnes dépositaires de l'autorité publique».
Un livre du conseiller d’État Christian Vigouroux met en garde contre les risques induits par le culte de la force, critique les cas dans lesquels l’État en fait un mauvais usage et insiste sur la primauté du droit.
Des témoignages forts ont été livrés lundi 26 juin lors du procès des biens mal acquis de Teodorin Obiang, vice-président de la Guinée équatoriale. À la corruption endémique du pays s'ajoutent la traque des opposants, les arrestations arbitraires et la torture.
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Je ne veux pas d’antisémites, de négationnistes, de racistes, de xénophobes, d’islamophobes, d’homophobes ni de franchouillards souverainistes aux plus hautes fonctions de l’Etat. J'irai voter le 7 mai.
Évoquer des « prises d'otages » ou du « terrorisme » pour disqualifier les mouvements sociaux actuels n'est pas meilleur pour la démocratie que ce qu'on prétend combattre.
En presque cinquante ans de carrière, David Bowie a expérimenté une multitude de créations, sans commettre aucune faute de goût. Promenade subjective en musique et en images.