Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé dans son cabinet médical, au milieu de la casbah d’Alger, par les forces de l’ordre françaises. Mort ou vif, sa famille ne l’a jamais revu. Deuxième volet de l’histoire de sa disparition.
L’auteur du tube mondial « I Believe I Can Fly », condamné en septembre 2021 par un tribunal de New York pour une série de crimes sexuels, notamment sur des mineures, a écopé d’une peine de 30 ans de prison.
Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé à son cabinet, à Alger, par les forces françaises. Sa famille ne le reverra jamais. Et comme pour beaucoup, les circonstances de sa disparition restent incertaines. C’est l’objet de cette enquête en quatre volets.
Dernier court métrage iranien diffusé sur Mediapart en partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran : le combat d’une femme pour s’affranchir de la morale traditionnelle, qui interdit de montrer le visage des défuntes.
Troisième court métrage iranien diffusé sur Mediapart en partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran. Aujourd’hui, les stratagèmes d’un enfant fou de foot, face à son père, une brute épaisse.
Les Suédois Peo Hansen et Stefan Jonsson mettent au jour l’origine coloniale de l’Union européenne, dans un essai centré sur le concept méconnu d’Eurafrique. Cette notion controversée connut une gloire éphémère jusqu’à la conclusion du traité de Rome en 1957 avant d’être effacée des mémoires.
« Quelqu’un est-il capable de résoudre l’énigme ? », semble nous interpeller Roberto Bolaño dans « 2666 ». Cette question, ainsi qu’en témoigne l’édition de ses œuvres complètes par l’Olivier, revient de manière obsessionnelle d’un roman à un autre.
D’abord focalisé sur les intérêts sécuritaires du régime russe, le discours médiatique a intégré les motivations identitaires qui ont pu inciter à l’invasion de l’Ukraine. Nos invitées Aude Merlin et Juliette Faure, politistes et spécialistes de la Russie, analysent avec nuance cette dimension du conflit.
En partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran, Mediapart diffuse sur une semaine quatre courts métrages. Aujourd’hui, est-il possible de poursuivre ses rêves d’enfant dans un pays ravagé par la guerre ?
En partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran, Mediapart diffuse sur une semaine quatre courts métrages. Bureau fermé, ordinateur envolé, supérieurs occupés... : une journaliste apprend son licenciement brutal.
Mediapart a rencontré le prix Nobel de littérature 2021. Son œuvre romanesque, marquée par les ravages du colonialisme et la figure du migrant, rend à l’Afrique orientale et à Zanzibar leur profondeur spatiotemporelle liée à l’océan Indien.
Notre podcast culturel hebdomadaire débat du dernier récit d’Anne Boyer, « Celles qui ne meurent pas », de « La Nuit des hyènes » de Johann Zarca, et du « Journal de nage » de Chantal Thomas.
Après les révélations de Mediapart sur l’implication du général de Gaulle dans le mensonge d’État et l’impunité qui ont accompagné le 17-Octobre, les historiens Jim House, Neil MacMaster, Emmanuel Blanchard et Fabrice Riceputi réagissent.
Entretien avec Alex Mahoudeau, auteur de « La Panique woke ». Il montre comment des militants pour davantage de justice font l’objet de polémiques apparemment absurdes, dont la nature et les conséquences sont extrêmement politiques. Les manières de les affronter sont multiples, assure-t-il.
En salles ce mercredi, « Boum Boum » décrit les manifestations de « gilets jaunes » à Paris et l’histoire d’amour incandescente de sa cinéaste, Laurie Lassalle, avec l’un des participants, tressant le très intime et le très politique.
Notre émission culturelle hebdomadaire débat du film d’horreur post #MeToo d’Alex Garland (« Men »), du documentaire de l’Ukrainienne Iryna Tsilyk (« La terre est bleue comme une orange ») et de la série « Oussekine » diffusée par Disney.