Enquêtes

  • SOS Chrétiens d’Orient visée par une enquête pour complicité de crimes de guerre

    Extrême droite — Enquête

    Le parquet national antiterroriste a ouvert une enquête préliminaire visant l’association SOS Chrétiens d’Orient. Les gendarmes s’intéressent notamment à ses liens avec des milices syriennes accusées de crimes de guerre.

  • Révélations sur la mort de migrants repoussés en mer par des gardes-côtes grecs

    Migrations — Enquête

    Un demandeur d’asile parti de Turquie accuse les gardes-côtes grecs d’avoir jeté à l’eau deux de ses compagnons, qui sont morts noyés. Au terme de plusieurs mois d’enquête, en collaboration avec Lighthouse Reports, « Der Spiegel » et « The Guardian », Mediapart a reconstitué le fil des événements. Les gardes-côtes grecs nient toute pratique illégale.

  • Évasion fiscale : la France a fait une fleur à la famille Pinault

    Évasion fiscale — Enquête

    Le géant français du luxe Kering a subi un redressement d’au moins 210 millions d’euros en France pour son énorme montage d’évasion fiscale suisse. Mais Kering et son PDG François-Henri Pinault ont été bien traités par le fisc et la justice, alors même que le patron de la filiale Gucci a été condamné à six mois de prison avec sursis en Italie.

  • Au Sahel, l’armée française a tué au moins 2 800 présumés djihadistes

    Afrique(s) — Enquête

    La France refuse de communiquer sur le nombre de présumés djihadistes tués au Sahel depuis le lancement des opérations Serval et Barkhane. Mediapart a fait le calcul : au moins 2 800 combattants présumés ont été tués par les soldats français depuis 2013.

  • Surveillance des frères Kouachi : les cachotteries du service de renseignement parisien

    Terrorisme — Enquête

    La direction du renseignement de la préfecture de police, qui a cherché à étouffer un raté à la suite de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray, ne s’était pas pressée pour fournir à la justice les notes que celle-ci lui demandait après la tuerie de « Charlie Hebdo ». 

  • Attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray : la police des polices identifie les fautes mais exonère les fautifs

    Terrorisme — Enquête

    Appelés à témoigner au procès de l’assassinat du père Hamel, qui a démarré lundi, les agents du service de renseignement de la préfecture de police de Paris se sont fait porter pâles. Mediapart révèle le contenu de l’enquête de l’IGPN consacrée à la dissimulation de leur raté dans le suivi de l’un des terroristes.

  • Économiste multi-casquettes, Natacha Valla navigue entre le public et le CAC 40

    Transparence et probité — Enquête

    Le premier ministre vient de promouvoir l’experte à la présidence du Conseil national de la productivité, un organisme rattaché à France Stratégie. Cette économiste à la mode va donc faire des recommandations au gouvernement, malgré ses attaches innombrables avec la vie des affaires parisienne.

  • Media Crash : tuer l’information, mode d’emploi

    Médias — Vidéo

    Censures, pressions, autocensures, offensives idéologiques : ce film d’enquête révèle comment l’information et le citoyen sortent perdants d’un système médiatique qui voit neuf milliardaires posséder 90 % des médias privés. À voir en avant-première mardi 15 février.

  • « Grosse pute » : l’insulte d’un policier à propos d’une plaignante pour agression sexuelle

    Violences sexistes et sexuelles — Enquête

    Mediapart s’est procuré l’enregistrement d’un message laissé par mégarde par un policier sur le répondeur d’une femme de 34 ans qui venait de porter plainte pour agression sexuelle. Il l’insulte à plusieurs reprises. Juste après la publication de notre enquête, la préfecture de police a précisé avoir demandé la suspension du fonctionnaire.

  • Jean-Jacques Bourdin, la face sombre de la star de RMC

    Violences sexistes et sexuelles — Enquête

    Propositions sexuelles, confusion entre sphères privée et professionnelle, plainte pour tentative d’agression sexuelle : Mediapart a recueilli de nombreux témoignages et documents mettant en lumière l’usage de son pouvoir par le journaliste.

  • Mosquée de Bayonne : l’attentat que les autorités n’ont pas voulu voir

    Discriminations — Enquête

    Deux ans après l'attaque contre la mosquée de Bayonne, qui a fait deux blessés, le sentiment d’injustice est fort pour les familles des victimes. Si la thèse terroriste a rapidement été écartée, le dossier consulté par Mediapart montre un tireur à l’idéologie raciste bien ancrée.

  • Une étudiante chinoise espionnait des laboratoires français

    France — Enquête

    Entre avril 2018 et septembre 2021, une thésarde a passé plusieurs nuits dans des laboratoires sensibles à Metz et Strasbourg, permettant à un de ses compatriotes d’y pénétrer. La DGSI s’inquiète des nombreuses vulnérabilités des établissements de recherche français.

  • À Rouen, l’eau est contaminée par des polluants éternels

    France — Enquête

    Une pollution aux PFAS, des produits chimiques hyperpersistants, a été détectée dans le réseau d’eau de la ville, selon les mesures auxquelles Mediapart a eu accès. Les communes ouvrières au sud de la Seine semblent particulièrement touchées. 

  • Génocide des Tutsis : Ntiwiragabo, le colonel sans papiers toléré en France

    Justice — Enquête

    Sans surprise, la France a refusé d’accorder l’asile au colonel Aloys Ntiwiragabo, au cœur d’une enquête judiciaire pour « crime contre l’humanité ». Mais la France ne veut pas l’extrader, en dépit de la demande rwandaise. Ni l’expulser, malgré son absence de titre de séjour.

  • La vente chaotique de « La Provence » attise le soupçon

    Médias — Enquête

    Le parquet de Bobigny est intervenu pour demander la nomination d’un second liquidateur pour le groupe Tapie, lequel a aussitôt fixé un nouveau cahier des charges pour la vente du journal, avantageant Xavier Niel sur son rival Rodolphe Saadé.

  • Les Verts, la gauche et la Primaire populaire : des pressions et 150 000 euros sur la table

    France — Enquête

    Pendant des mois, les partis de gauche ont manœuvré pour tenter d’entraver le processus de la Primaire populaire. Le directeur de campagne de Yannick Jadot a même évoqué une somme de 150 000 euros pour les dédommager s’ils acceptaient d’arrêter le processus. Il confirme cette information, mais en nuance la finalité.