Wajd, 4 ans, et Amer, 2 ans, incarnent l’enfance fracassée à Gaza. Gravement blessés, traumatisés par les bombes, la famine, ils sont arrivés à Paris la veille du gel, le 1er août, de l’accueil des réfugiés gazaouis par la France. Un gel qui n’est toujours pas levé.
Des taux plus de 10 fois supérieurs à la normale ont été mesurés à proximité des sites de l’industriel français en Mongolie par un chercheur indépendant. Ce dernier a été arrêté en août par la police locale, alors qu’il effectuait des mesures sur place.
Entré en vigueur le 6 août, l’accord de renvoi réciproque de personnes en exil aurait dû être effectif cette semaine, selon les autorités françaises. Mais selon nos informations, trois vols ont déjà été annulés ces derniers jours, démontrant les limites du dispositif.
Le 6 septembre 2015, trente ans après l’attentat des services secrets français contre le navire amiral du mouvement écologiste Greenpeace, l’homme qui coula le Rainbow Warrior parlait, enfin, sur Mediapart. Pour les quarante ans, nous rediffusons en accès libre la vidéo de cet entretien avec le colonel Jean-Luc Kister et l’article qui accompagnait cette révélation.
Gaza encore et toujours bombardée : le projet messianique et raciste d’Israël d’anéantir la bande de Gaza est en cours. Pour le contrer ? Il faut des sanctions efficaces et urgentes, martèlent Leïla Shahid, Rami Abou Jamous, Nadav Lapid, Vincent Lemire et Carine Fouteau dans « À l’air libre », l’émission en accès libre de Mediapart.
Le meurtre de l’influenceur trumpiste, très populaire auprès des jeunes, est le prétexte à une escalade de la part du pouvoir. Alors que le président et ses proches multiplient les attaques contre leurs opposants, les sanctions s’abattent sur toute voix critique.
L’assassinat de l’influenceur d’extrême droite Charlie Kirk sert de prétexte à une offensive présidentielle contre la gauche, « radicale » ou pas. Au moment même où le Parti démocrate est bousculé par son aile « socialiste », que reste-t-il des modérés ? Éléments de réponse avec Mathieu Bonzom.
Alors que le parti au pouvoir se retrouve sans leader et sans majorité parlementaire, près de 300 jeunes se sont donné rendez-vous les 13 et 14 septembre à l’aéroport de Narita, lieu symbolique des luttes sociales de l’archipel.
« Gaza est en feu », se réjouissait mardi matin le ministre de la défense israélien, avant que deux divisions de l’armée pénètrent dans la ville du nord de la bande. Le jour même, des enquêteurs de l’ONU concluaient à la perpétration d’un « génocide » à Gaza par l’État hébreu.
En une semaine, la génération Z du pays himalayen a fait tomber son premier ministre puis désigné en ligne une remplaçante par intérim. Reste pour les 30 millions d’habitants à transformer cette révolte éclair en projet politique, à l’approche des législatives anticipées de mars.
Alors que Donald Trump menace « de traquer la gauche radicale », qu’il accuse sans preuve d’être responsable du meurtre de Charlie Kirk, le Parti démocrate apparaît désorganisé et inaudible.
La manifestation « Unite the Kindgom », à l’appel de la figure d’extrême droite Tommy Robinson, a rassemblé plus de 100 000 personnes à Londres. D’autres figures européennes sont intervenues, dont l’ex-candidat à la présidentielle Éric Zemmour.
Depuis 2023 et malgré la guerre, Priama Diia (Action directe) défend les droits des étudiants ukrainiens : contre la spéculation immobilière, pour la gratuité de l’enseignement, contre les discriminations à l’université. L’une de ses représentantes raconte leurs combats.
Le président de la Republika Srpska, destitué début septembre, place l’entité serbe de Bosnie-Herzégovine dans une crise institutionnelle. Une élection doit désigner son successeur, mais les autorités n’entendent pas l’organiser. Dans l’indifférence de la communauté internationale.
Dans un entretien à Mediapart, la ministre espagnole Sira Rego, qui vient d’être interdite d’entrée en Israël, revient sur les dernières annonces du premier ministre Pedro Sánchez sur Gaza, dont un embargo sur les ventes d’armes.
Un an après son cri d’alarme sur le consentement à l’écrasement de Gaza, le professeur au Collège de France interroge ce que la violence dit du monde et de notre espèce, à l’ombre de la destruction de la Palestine.