Pauline Londeix consacre un livre très documenté au football féminin, qui a été propulsée sur le devant de la scène médiatique par les JO : son développement entravé par des hommes, comme son expansion en lien avec les mouvements féministes.
Plusieurs journalistes et opposants au régime de Mohamed VI réagissent à la grâce dont ils ont bénéficié lundi 29 juillet. Ils disent leur soulagement et leur espoir que d’autres prisonniers politiques soient libérés.
Lors des Jeux de Melbourne, la gymnaste Ágnes Keleti fait partie de la quarantaine d’athlètes hongrois qui font défection. Mais contrairement au tropisme états-unien de la plupart d’entre eux, elle reste en Australie, y passe quelques mois et décide de repartir vers l’Europe : Allemagne, Israël, avant le retour en Hongrie, où elle vit aujourd’hui.
Deux organisations de défense des droits humains accusent les belligérants soudanais d’utiliser le viol pour terroriser la société, dans la capitale Khartoum et dans d’autres régions du pays, alors que les armes continuent d’affluer dans le pays.
Trois jours après l’attaque attribuée au Hezbollah qui a tué douze jeunes dans un village druze du Golan, le chercheur Thomas Vescovi rappelle le statut singulier de cette région occupée par Israël et avertit contre les récupérations possibles de ce drame.
Près de 500 athlètes ukrainiens ont perdu la vie depuis l’invasion de leur pays par la Russie. De son côté, le Kremlin et son allié bélarusse envoient des sportifs soutenant publiquement la guerre ou faisant partie de l’armée, malgré les règles du Comité international olympique.
Selon la Commission électorale, le président sortant a été reconduit dans ses fonctions avec 51 % des voix. Une surprise pour le pays, alors que l’opposition était persuadée de l’emporter. C’était sans compter la grande machine chaviste.
Depuis le début de la guerre en février 2022, les positions sur le front et les projections militaires ont changé. La psychologie des engagés volontaires est également transformée. À l’image de Charly, Bélarusse qui s’apprête à retourner sur le front.
Deux localités de la région de Donetsk ont été prises par l’armée russe ce week-end et les bombardements sur tout le pays ont fait onze morts ukrainiens en deux jours. Sur le terrain, la poussée des forces russes est manifeste.
L’un est le premier boxeur à se qualifier pour les JO et vit en Cisjordanie ; l’une est nageuse et a toujours vécu aux États-Unis ; un autre est judoka, réfugié, et n’a jamais mis les pieds dans son pays d’origine. Tous veulent envoyer un message de résilience et d’affirmation de leur identité palestinienne.
Les Jeux olympiques de Melbourne de 1956 ne sont pas encore finis lorsque, à Budapest, les troupes soviétiques reprennent le contrôle du pays et mettent fin à la révolution hongroise. Dániel Magay et une quarantaine d’autres athlètes décident alors de faire défection.
Cette campagne présidentielle aux États-Unis est la plus chaotique de l’histoire récente du pays. Elle rappelle l’année 1968, marquée elle aussi par la violence politique et le désistement inattendu d’un président démocrate.
Alors que des sportifs argentins ont été hués lors des premières rencontres des Jeux, le président d’extrême droite Javier Milei a échangé ce vendredi avec Emmanuel Macron à l’Élysée. À Buenos Aires, la vice-présidente, elle, continue de défendre le chant raciste des coéquipiers de Lionel Messi visant les joueurs français.
Malgré l’absence de délégation officielle russe aux Jeux olympiques de Paris, Vladimir Poutine est loin d’être aussi « isolé » que le souhaiteraient l’Europe et les États-Unis. Sa diplomatie cherche à rassembler autour des intérêts de Moscou une masse critique de pays non occidentaux.
Premiers JO après la Seconde Guerre mondiale, dans une Europe en pleine reconstruction : la responsable sportive de l’équipe tchécoslovaque de gymnastique annonce publiquement qu’elle ne rentrera pas à Prague.
Devant représentants et sénateurs, le premier ministre israélien a une nouvelle fois asséné le discours du bien contre le mal, posant l’État hébreu en protecteur des États-Unis au Moyen-Orient, sans évoquer la moindre perspective de négociation ou de paix. Il a été moins applaudi que lors de ses adresses précédentes.