Les insultes fusant dans le stade contre la présidente Dilma Rousseff et Joseph Blatter (Fifa) ont donné lieu à une guerre de communication sur les télévisions. En revanche, la manifestation surprise d'un jeune Indien guarani, visant à défendre les terres ancestrales des tribus indigènes, a été soigneusement tue.
Cette semaine, la Parisienne Libérée chante la lutte des intermittents et précaires contre l'agrément de la convention d'assurance-chômage. Interluttants #1.
Cette semaine, Didier Porte démonte le nouveau discours du Front National, après la polémique entre père et fille Le Pen sur une énième « phrase » de Jean-Marie Le Pen aux explicites sous-entendus antisémites.
Cette semaine, la Parisienne Libérée invite Jérémie Zimmermann pour chanter nos habitudes numériques : comment garder le contrôle de technologies qui ont été développées sans réel souci de nos libertés ? Datalove #4.
Retour sur l'œuvre des frères Dardenne, à l'occasion de la sortie en salle de Deux jours, une nuit et de la rétrospective intégrale de leurs films à la Cinémathèque française. Comment filmer ceux qui, bien que privés de travail, ne cessent d'agir et de se battre ?
Cette semaine, la Parisienne Libérée envoie une carte postale chantée à nos voisins européens pour leur expliquer le score de l'extrême droite aux élections européennes. Chanson en anglais sous-titré.
Adieu au langage signe le retour de Jean-Luc Godard en compétition à Cannes. Le programme est simple : la 3D d'un côté, un chien de l'autre. Le résultat est un film génial. « … mon meilleur », dit Godard dans une lettre adressée à Gilles Jacob et à Thierry Frémaux.