Mediapart suit au quotidien plusieurs internes mobilisés dans des services de réanimation de patients atteints par le Covid-19. Ces étudiantes et étudiants en troisième cycle parlent de leur ressenti, de leurs craintes mais aussi de ces solidarités nouvelles qui surgissent.
Mediapart suit au quotidien plusieurs internes mobilisés dans des services de réanimation de patients atteints par le Covid-19. Ces étudiantes et étudiants en troisième cycle parlent de leur ressenti, de leurs craintes mais aussi de ces solidarités nouvelles qui surgissent.
Mediapart suit au quotidien plusieurs internes mobilisés dans des services de réanimation de patients atteints par le Covid-19. Ces étudiantes et étudiants en troisième cycle parlent de leur ressenti, de leurs craintes mais aussi de ces solidarités nouvelles qui surgissent.
Mediapart consacre une série au centre de rétention de Marseille, où la France place des sans-papiers qu’elle veut expulser. Dans notre troisième épisode : les étrangers contestant leur sort ont droit, bien souvent, à une justice d’abattage.
La démocratie n’empêche-t-elle pas la France d’être réellement efficace dans sa gestion de la crise sanitaire ? C’est la question que se pose ce premier épisode confiné d’« Ouvrez les guillemets ».
La pandémie n’est pas seulement « intraitable » au sens thérapeutique – la médecine ne dispose pour le moment d’aucun traitement spécifique –, elle l’est politiquement car elle met à nu l’impuissance des États face aux grands défis actuels.
La crise du coronavirus fera date, mais d’autres bouleversements sont à l’œuvre. Cette semaine, l’équipe d’« Ouvrez les guillemets » revient sur la tribune de Virginie Despentes qui risque, elle aussi, de laisser des traces durables.
Isabelle Huppert atteint au sublime dans La Ménagerie de verre, de Tennessee Williams, mise en scène par Ivo van Hove. Conçue comme un huis clos familial, la pièce s’avère solidaire de tous les laissés-pour-compte.
Aller vers autrui, en quittant notre prétendu pré carré enraciné plutôt que de nous arcbouter face au danger de la différence, tel est le message de la socio-anthropologue dans Faut-il se ressembler pour s’assembler ?.
S’acoquiner avec les figures influentes du réseau peut rapporter gros en terme d’image et en terme de visibilité. C’est même la méthode rêvée pour les politiques qui souhaiteraient s’adresser spécifiquement aux jeunes, que ce soit pour les faire voter ou militer.