Mardi 8 novembre, les « midterms » pourraient marquer un coup d’arrêt de la présidence de Joe Biden : le président pourrait perdre le soutien du Congrès en cas de vague républicaine. Dans un climat marqué par la violence politique, Donald Trump prépare déjà le prochain scrutin présidentiel.
Pour remporter cet État clé des élections de mi-mandat, les démocrates tentent de réduire leurs pertes parmi les électeurs ouvriers qui votent de plus en plus à droite. C’est John Fetterman, un candidat pro-Bernie Sanders, pro-LGBT, pro-IVG, pro-cannabis, mais aussi pro-armes et pro-gaz de schiste, qui doit séduire ces grands « oubliés ».
Face à un Parti républicain de plus en plus extrême, Joe Biden dénonce les « attaques » contre la démocratie. Le président américain pourrait perdre sa majorité au Congrès après les élections de mi-mandat du 8 novembre.
Le renouveau militant, vivace à gauche pendant les années Trump, a marqué le pas depuis l’élection de Joe Biden, président en difficulté à l’approche des élections de mi-mandat du 8 novembre. Pendant ce temps, l’extrême droite remporte des victoires politiques et symboliques. Un article à retrouver dans le dernier numéro de la revue « Mouvements ».
Dans cet État clé des élections présidentielles aux États-Unis, des candidats aux scrutins de mi-mandat, le 8 novembre, remettent en cause le système électoral et la victoire de Joe Biden. Et sont aux portes du pouvoir.
Dans cet État clé du nord-est des États-Unis, le scrutin du 8 novembre va déterminer l’avenir du droit à l’avortement. Le vote des femmes, qui se mobilisent pour certaines en urgence, pourrait être crucial.
Après une campagne tendue, l’ancien président du Parti des travailleurs réussit son retour aux affaires. Avec 50,9 % des suffrages exprimés contre 49,1 % pour son adversaire Bolsonaro, il remporte l’élection la plus serrée depuis la chute de la dictature. Si une partie du Brésil exulte, le pays est désormais profondément déchiré.
Alors que les élections de mi-mandat approchent, des candidats et des élus multiplient les propos qui sonnent comme de véritables appels aux armes. Cette normalisation est dangereuse, dans un pays qui détient le record mondial d’armes à feu par habitant et de tueries de masse. La chronique de Maya Kandel.
Gestion catastrophique de la pandémie de Covid, crise sociale, destruction environnementale et mauvais résultats économiques : le bilan des quatre années de pouvoir de Jair Bolsonaro est calamiteux, mais le bolsonarisme profite pourtant d’un soutien encore fort d’une partie de la population. Explications.
Les quatre années de gouvernement Bolsonaro ont réconcilié l’électorat avec les avancées du lulisme. Dans le Minas Gerais, récupérer les voix populaires sera décisif pour le candidat du Parti des travailleurs.
Les deux candidats ont multiplié les visites dans le Minas Gerais, champ de bataille majeur de l’élection présidentielle dont le second tour se tient dimanche 30 octobre. Le sortant Bolsonaro espère conquérir cet État qui l’a placé derrière Lula au premier tour.
Qu’est-il arrivé à la mobilisation pour une nouvelle Constitution au Chili, immortalisée par un documentaire de Patricio Guzmán qui sort en salles ce mercredi ? Les causes multiples de son échec sont maintenant identifiées, et nourrissent la réflexion sur un éventuel processus constituant en France.
Contre toute attente, la Géorgie avait donné à Joe Biden la majorité sénatoriale en 2021. La perdra-t-il à cause de cet État traditionnellement républicain à l’issue des élections de mi-mandat du 8 novembre prochain ?
La militante féministe chilienne Alondra Carrillo, élue à la Convention constitutionnelle, tire les leçons du refus de la nouvelle Constitution par 62 % des suffrages, exprimés lors du référendum du 4 septembre dernier.
Obsession du genre, de la « cancel culture », critique du soutien militaire à l’Ukraine : la droite états-unienne et ses médias utilisent les mêmes mots que le chef du Kremlin. Ce n’est pas un hasard. Une chronique vidéo de l’historienne Maya Kandel, spécialiste des États-Unis.
Une défaite des démocrates à la Chambre des représentants, à l’issue des élections de mi-mandat, début novembre, pourrait entraîner le désengagement de Washington envers Kyiv, qui a déjà reçu des dizaines de milliards de dollars.