Après avoir suivi l'extrême droite à Mediapart quelques années, je m'intéresse désormais au logement et à l'urbanisme.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
La vague Macron n’a pas totalement submergé la droite. L’alliance LR-UDI obtient 130 sièges et peut se satisfaire d’être, de très loin, la principale force d’opposition, même si les divisions internes sont déjà apparues. Le FN est loin de ses objectifs et n'aura probablement pas de groupe.
Guillaume Peltier est de retour. Le cofondateur de La Droite forte espère faire dimanche son retour sur la scène nationale en étant élu député dans la 2e circonscription du Loir-et-Cher. Mais l’ombre d’une mystérieuse candidature, qui a pris des voix à son principal adversaire, plane sur la fin de sa campagne.
Les Républicains et l’UDI devraient voir le nombre de leurs députés divisé par deux. Face à l’effondrement du PS et au petit score du FN, la droite se pose pourtant en seul parti d’opposition à l’hégémonie macroniste. « Il y a tout à refaire », assure Jean-François Copé, annonçant les grandes batailles des mois à venir.
Gauche, droite, écologistes, majorité présidentielle : Mediapart passe en revue les lignes de force de ce premier tour des législatives, dimanche 11 juin.
La droite parisienne, qui espérait il y a quelques mois prendre sa revanche à Paris après le ratage du quinquennat Hollande, aura sans doute du mal ne serait-ce qu’à se maintenir dans ses bastions de l’ouest parisien. Dans la ville qui a plébiscité Macron, la droite est déjà en miettes.
La bataille des législatives à Nice se joue sur fond de guerre ouverte entre les deux ténors de la droite, Christian Estrosi et Éric Ciotti, et face à un FN qui ne cesse de grignoter du terrain. Dans ce paysage où la gauche a pratiquement disparu, le poids des candidats La République en marche reste l’ultime inconnue.
Les Républicains et l’UDI ont lancé samedi 20 mai leur campagne des législatives. Après la nomination d’un gouvernement où des postes clés ont été confiés à des personnalités issues de ses rangs, la droite n'a que trois semaines pour convaincre son électorat de ne pas céder aux sirènes du macronisme.
Fragilisés par la nomination d'un juppéiste à Matignon, Les Républicains essaient de colmater les brèches. Alors que plusieurs figures de la droite et du centre pourraient entrer dans le prochain gouvernement, le parti risque l’explosion.
Qui sont les candidats de la « société civile » présentés par La République en marche, le parti présidentiel ? Mediapart les a passés en revue. Verdict : pas d’ouvriers, très peu d’employés mais beaucoup de chefs d’entreprise et de cadres du privé. Et aussi des avocats, lobbyistes et collaborateurs d’élus.
Convaincue que la défaite à la présidentielle n’a tenu qu’aux faiblesses de François Fillon, la droite espère prendre sa revanche aux législatives. Mais les ténors de LR vivent sous le couperet du futur gouvernement Macron que certains pourraient rejoindre.
Pendant deux heures et demie de débat, mercredi soir, Marine Le Pen a cherché le pourrissement. Emmanuel Macron a tenté de faire face en déroulant son projet d'inspiration libérale.
Depuis des mois, la candidature d’Emmanuel Macron a suscité sur les réseaux sociaux – par-delà les légitimes débats politiques – une campagne d’une rare violence dans la droite ultra. Banquier cosmopolite, homosexuel honteux, fossoyeur de la famille soutenu par des pédophiles, mais aussi par Daech… Des fantasmes nourris par un imaginaire maurrassien.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
La Manif pour tous a refusé d’accueillir Mediapart pour l’université de rentrée de «Marchons enfants» qui a lieu ce 21 septembre à Port-Marly (78). L’événement était officiellement «ouvert à tous». Un boycott qui en dit long sur ce qu’est ce mouvement.
L’hebdomadaire qui publiait ce dimanche une tribune appelant le président à se saisir de la question des violences faites aux femmes, laissait paraître à quelques pages d’intervalle un édifiant article, monument de sexisme ordinaire.
Une « enquête à charge », des « accusations ni étayées, ni documentées », pire « un tas de ragots »…Jean-Loup Salzmann qui a donné une interview à l’Etudiant suite à la parution de notre enquête « Le vice-ministre des universités entre en zone de turbulence» n’a visiblement pas apprécié que Mediapart se penche sur le fonctionnement de son université.
Dans la crise du système scolaire, on oublie complètement de se pencher sur le manque de culture financière des jeunes enfants du primaire. Pas un mot dans les programmes de CP sur ce qu'est une action, nulle définition des taux d'emprunts… Rien.