À Masafer Yatta, les Palestiniens, menacés d’expulsion par l’État hébreu, vivent directement l’explosion de la violence coloniale en Cisjordanie depuis le 7 octobre, les yeux rivés sur Gaza. Les nouveaux traumatismes s’ajoutent aux précédents, marquant les corps et les esprits.
Depuis le 7 octobre, les arrestations sont massives dans les territoires palestiniens occupés, dans la bande de Gaza comme en Cisjordanie. Dans les prisons d’Israël, où les conditions de détention se sont gravement détériorées, plusieurs prisonniers sont morts.
Le fondateur de WikiLeaks a quitté Londres après quatorze années d’enfermement dans l’ambassade équatorienne, puis dans une prison haute sécurité. Il doit se rendre dans les îles Mariannes pour y être condamné à 62 mois de prison, peine qu’il a déjà purgée. Il pourra ensuite repartir, libre, vers l’Australie.
Dans le nord-est de la nation celte, Aberdeen, libre et prospère, apparaît en oasis d’accueil et de tolérance dans une Europe gangrénée par le refus d’autrui. Avec un chassé-croisé entre travaillistes dérivant à droite et nationalistes encore ancrés à gauche.
Evan Gershkovich, 32 ans, journaliste au « Wall Street Journal », est accusé d’espionnage dans l’Oural au profit de la CIA. Des accusations jamais étayées par les autorités russes. Il est enfermé depuis 15 mois. Son procès démarre mercredi 26 juin.
Auteur du livre « Le Nettoyage ethnique de la Palestine », l’historien israélien dénonce les agissements de l’État hébreu à Gaza. Il s’inquiète aussi de la « guerre civile froide » qui fracture son pays, opposant le bloc libéral le plus laïque à celui de tradition religieuse.
Rachida El Azzouzi était l’invitée d’« Abonnez-vous » sur Twitch, pour présenter son travail sur les prisons israéliennes et les conditions de détention des palestinien·nes dans le « Guantánamo israélien ».
L’incendie de ce bâtiment des quartiers populaires de Londres a fait 72 morts en 2017 et a révélé de nombreux dysfonctionnements de l’État britannique. Mais aucun des partis en lice aux législatives du 4 juillet n’a tiré les leçons de la catastrophe, regrette le journaliste Peter Apps, auteur d’un essai de référence sur ce drame.
C’est l’autre guerre d’Israël. Attaques de colons incessantes, campagne massive d’arrestations, mauvais traitements infligés aux personnes détenues, ou encore circulation entravée : l’occupation destructrice de la Cisjordanie se poursuit.
La guerre en Ukraine a renforcé les liens entre la Corée du Nord et la Russie, deux pays soumis à des sanctions internationales. En visite à Pyongyang, le président russe a signé un partenariat stratégique global avec Kim Jong-un, suscitant l’inquiétude occidentale.
La circonscription de Bishop Auckland (comté de Durham) va sans doute mettre fin à l’interlude conservateur. Mais le frileux Keir Starmer et son parti travailliste enrégimenté ne suscitent guère l’enthousiasme, tandis que l’extrême droite a le vent en poupe.
Malgré une gestion calamiteuse des finances publiques, il restait une force dans le pays : la stabilité de ses institutions. En provoquant des élections législatives anticipées, le chef de l’État a détruit en une semaine la position de la France sur les marchés et en Europe.
En Cisjordanie se déroule l’autre guerre d’Israël, faite d’incursions militaires à répétition. Il ne se passe pas une journée sans que l’armée de l’État hébreu envahisse un camp de réfugiés, une ville ou un village. Reportage dans le nord de la Cisjordanie.
Plusieurs associations de soutien au peuple palestinien et des partis de gauche demandent que les mêmes sanctions que celles imposées à la Russie soient appliquées aux athlètes israéliens. Le CIO est pour l’instant inflexible.
Dans des pays comme l’Allemagne, l’Autriche, les Pays-Bas, l’Italie ou la France, où l’extrême droite a grimpé lors du scrutin du 9 juin, la question migratoire a été largement instrumentalisée, sur fond de désinformation et de discours de haine.
Une commission d’enquêteurs indépendants des Nations unies accuse Israël et le Hamas de crimes de guerre. Elle accuse encore les autorités israéliennes de crimes contre l’humanité, notion qu’elle ne retient pas contre le mouvement islamiste palestinien.