Malgré une campagne dynamique et un programme solide, l’union par la base que prônait Jean-Luc Mélenchon n’a pas complètement pris. À la veille du premier tour, des blocages subsistent à gauche et parmi les classes populaires.
Durant 22 minutes, la cour d’assises spécialement composée s’est transportée vendredi, d’abord par le son, ensuite par l’image, au Bataclan. Avec les commentaires du président Périès rendant compte de l’ampleur de la tragédie. Récit d’une audience en apnée.
Le journaliste ukrainien Stanislav Asseyev fut détenu 28 mois dans un centre de torture de la province de Donetsk, contrôlée depuis 2014 par des forces séparatistes soutenues par Moscou. Son témoignage éclaire sur l’ordre qu’entendrait imposer le Kremlin à l’Ukraine.
Après avoir fait valoir son droit au silence durant une partie de l’après-midi, Salah Abdeslam a finalement répondu à une avocate des parties civiles. Le 13 novembre 2015, il n’a pas enclenché son gilet explosif, « ni par lâcheté ni par peur », mais parce qu’il « ne voulait pas ».
Jamais un accusé n’avait été aussi loin dans ses déclarations. Mais parce qu’il l’avait annoncé et surtout parce qu’il est contraint dans des conflits de loyauté avec les autres hommes dans le box, les aveux de Mohamed Abrini au procès des attentats du 13-Novembre n’ont pas eu la portée espérée.
Pendant toute la durée du procès des attentats du 13-Novembre, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, explique pourquoi désormais il souhaite être confronté aux images de l’attentat.
La procureure de Bordeaux a requis 18 mois d’emprisonnement, assortis d’un sursis probatoire, contre le député (ex-LREM) Benoît Simian, jugé pour harcèlement envers son épouse dans le cadre d’un divorce houleux. Trois ans d’inéligibilité ont également été demandés.
Le président sortant n’est pas obligé de descendre dans l’arène mais la guerre en Ukraine semble avoir dissuadé Emmanuel Macron de se confronter aux autres candidats et candidates. Cette absence de débat risque de créer pour la suite un problème de légitimité.
Au cours de sa détention, d’avril 2018 à octobre 2019, l’ancien président brésilien reçut près de 25 000 lettres de soutien. Un livre en rassemble une quarantaine, accompagnées d’environ 70 fac-similés, qui témoignent d’une histoire populaire du Brésil.
Durant les deux derniers jours de leur procès, la plateforme et ses ex-dirigeants ont contesté pied à pied l’accusation de « dissimulation systémique du statut de salarié » des livreurs. La procureure a requis la peine maximale contre l’entreprise. La décision sera rendue le 19 avril.