Pendant toute la durée du procès des attentats du 13-Novembre, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, fait part de ses regrets d’avoir déserté l’audience ces derniers temps.
Les avocats de Yassine Atar ont dénoncé les dérives de la justice antiterroriste dont le principal reproche vis-à-vis de leur client serait d’être le frère du commanditaire des attentats parisiens et bruxellois. En conséquence, ils ont plaidé l’acquittement.
Les avocates Gisèle Stuyck et Margaux Durand-Poincloux ont plaidé lundi l’absence de « complicité » d’Osama Krayem dans les attaques terroristes de Paris. La réclusion à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 30 ans a été requise contre lui.
Vous l’avez certainement déjà entendu : la gauche a fait alliance en acceptant de se plier à la ligne de rupture des mélenchonistes. Le mélenchonisme, c’est quasiment l’anarchisme, quand ce n’est pas carrément la fin de la République.
Cinq avocats se sont relayés pour plaider en faveur d’une « peine juste » pour Muhammad Usman et Adel Haddadi, interpellés en Autriche en décembre 2015. Le parquet réclame 20 ans de prison contre ces hommes qui n’ont pas participé aux attentats.
Maîtres Negar Haeri et Xavier Nogueras ont plaidé mardi l’acquittement de Mohammed Amri, l’un des deux accusés venus à Paris pour y récupérer Salah Abdeslam la nuit des attentats. Maître Delphine Boesel a souligné la jeunesse de Hamza Attou qui l’accompagnait.
Cinq ans de prison ont été requis contre Ali Oulkadi, accusé de « recel de criminel terroriste » pour avoir déposé Salah Abdeslam dans Bruxelles. Lundi, ses avocates, Marie Dosé et Judith Lévy, ont contesté l’accusation terroriste.
Les avocats généraux ont requis dix réclusions criminelles à perpétuité pour cinq des accusés dans le box et cinq autres présumés décédés en Syrie. Pour les dix autres hommes jugés, le ministère public réclame des peines allant de 5 à 30 ans de prison.
« De notre monde emporté » est un roman où la parole ouvrière a voix au chapitre. Christian Astolfi relate les dernières années des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer, à travers un personnage, Narval, qui voit se défaire la puissance du travail.
En préambule d’un réquisitoire-fleuve, l’avocate générale Camille Hennetier a dressé le bilan des neuf mois d’audience d’un procès dont les acteurs n’ont cessé de lutter pour le ramener à sa normalité mais qui a débordé de par l’énormité du crime jugé.