Trois députées, Clémentine Autain (France insoumise), Elsa Faucillon (PCF), Cécile Untermaier (PS) expliquent, lors de notre émission En direct de Mediapart, comment leurs partis s’opposent, et sur quels thèmes, au groupe ultra majoritaire La République en marche.
Ses erreurs dans les gouvernements Hollande, sa critique de la présidence Macron, son mouvement Génération·s et ses nouvelles pratiques politiques… Benoît Hamon était l'invité de notre soirée Live du 17 janvier.
Avec ses 4 candidats dont 2 hollandistes et un ex-vallsiste, la préparation du congrès du Parti socialiste avait le parfum d’avant la catastrophe, comme si rien ne s’était passé. Et soudain Delphine Batho surgit. Le déboulé de la députée des Deux-Sèvres met du désordre et des mots sur cette bataille de somnambules.
Malgré une échéance institutionnelle encore lointaine, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon continue de faire vivre un groupe de hauts fonctionnaires qui prendraient des responsabilités en cas d’alternance, en complément du groupe d’élus à l’Assemblée.
Peut-on encore sauver les bobos ? Nos spécialistes en bobologie Usul et Cotentin relèvent le défi, en se confrontant à de nombreuses questions. Qui sont-ils ? Qui les détestent et pourquoi ? Qu’ont-ils donc fait de travers pour devenir la cible de tant de critiques ?
Le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts revient, dans un entretien à Mediapart, sur le processus de refondation engagé depuis l’été. Convaincu qu’un parti écolo reste plus que jamais nécessaire, il évoque la bataille des européennes de 2019.
Face au rouleau compresseur de La République en marche, le groupe de La France insoumise a du mal à trouver un second souffle. Le groupe communiste, retrouve ses vieilles habitudes. Le groupe PS, qui s'est effondré, peine à se redresser.
La première convention du mouvement de Jean-Luc Mélenchon après les élections s’est tenue à Clermont-Ferrand. La mobilisation l'a emporté sur les questions d'organisation interne. La convention fut l’occasion de souder les militants, tirés au sort, autour de trois grandes campagnes nationales qui vont être engagées et de faire bloc dans l’opposition.
L’approche des élections territoriales en Corse ne calme pas les dissensions entre Insoumis de l’île et direction parisienne du mouvement de Jean-Luc Mélenchon. Le Parti communiste, lui, veut se positionner en rassembleur.
Dans un post de blog publié fin octobre, le leader de La France insoumise interroge l’indépendance des syndicats vis-à-vis du politique. En creux, il appelle les organisations de salariés à soutenir son mouvement dans le combat social.
D’ici à la fin novembre, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon aura terminé son processus de convention. Des synthèses de propositions d’Insoumis sont déjà rédigées insistant sur les modes d’actions sur le terrain et les outils pour mieux fédérer cet objet politique encore inédit.
En meeting « contre les ordonnances et les politiques de Macron » jeudi soir, des représentants de sept formations politiques de gauche, de l'intersyndicale et du DAL, ont tenté l’union.
De l’Europe à l’Océanie, la social-démocratie vient de subir une nouvelle série de défaites. Parmi les tentatives de reconversion vers la gauche, celle que mène Corbyn à la tête du Labour est la plus avancée.
Laminé aux dernières élections, le parti écologiste planche jusqu’à la fin de l’année sur un nouveau mouvement, plus large, plus ouvert aux ONG, et opérationnel fin 2018. « On n’est pas encore aux fondations, pour l’instant on fait les plans », explique un cadre.
Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon tente de mieux organiser ses groupes d'appui et lance un processus de consultation avant une convention prévue fin novembre. La direction, aujourd'hui non élue, va rester en place, et veut s'appuyer sur les 17 députés élus en juin. Mais des militants s'interrogent sur la démocratie interne.
Pour le mouvement de Jean-Luc Mélenchon, qui appelle à s’opposer au « coup d’État social » dans les rues de la capitale, samedi 23 septembre, la manifestation a valeur de test politique. La venue de personnalités de gauche, dont Benoît Hamon et une délégation du PCF, est déjà signe d’une réussite.