Le procès en première instance de l’affaire Bygmalion, soit l’explosion des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy pour l’élection présidentielle de 2012 et le système de fausses factures mis en place pour cacher le dépassement du plafond autorisé, s’est tenu du 20 mai au 22 juin 2021. Le procès en appel, lui, a eu lieu du 8 novembre au 8 décembre 2023. Tous les récits de ces audiences.
Le procès de l’affaire Bygmalion, qui porte sur l'explosion du compte de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 et le système de fausses factures ayant permis de la dissimuler, doit s’ouvrir mercredi 17 mars, mais risque d’être renvoyé. L’avocat de Jérôme Lavrilleux, son ex-directeur de campagne adjoint, est hospitalisé.
Le procès de l’affaire Bygmalion, qui porte sur l’explosion du compte de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 et le système de fausses factures ayant permis de la dissimuler, ouvert ce mercredi 17 mars, est renvoyé au 20 mai. L’avocat de Jérôme Lavrilleux, son ex-directeur de campagne adjoint, est hospitalisé.
Le procès de l’affaire Bygmalion, qui porte sur l’explosion du compte de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 et son système de fausses factures, reprend ce jeudi 20 mai. Plusieurs avocats veulent impliquer Jean-François Copé, qui a bénéficié d’un non-lieu.
Les avocats des prévenus de l’affaire Bygmalion ont dévoilé leurs batteries et engagé les hostilités ce vendredi, au tribunal de Paris. Nicolas Sarkozy, lui, n’est toujours pas présent.
Les anciens dirigeants de Bygmalion n'entendent pas tous porter le chapeau pour l'énorme dépassement des dépenses de campagne du candidat Sarkozy en 2012. L'un d'eux, Franck Attal, se rebiffe.
Ex-président de Bygmalion et homme-lige de Jean-François Copé, Bastien Millot est accablé par les autres dirigeants de la société mais jure qu’il ignorait tout de la fraude mise en place pour la campagne Sarkozy de 2012.
Anciens directeurs à l’UMP, Pierre Chassat et Fabienne Liadzé ne reconnaissent aucune responsabilité dans les folles dépenses prises en charge par le parti pour le candidat Sarkozy en 2012.
Au tribunal, l’ancien bras droit de Jean-François Copé a insisté ce jeudi sur la responsabilité de l’Élysée dans l’explosion des dépenses de la campagne Sarkozy 2012.
Le préfet Guillaume Lambert ménage Nicolas Sarkozy et accuse à mots couverts les anciens dirigeants de l’UMP et de Bygmalion d’avoir monté un système de fausses factures derrière son dos lors de la campagne de 2012.
Assurant tout ignorer des fausses factures de la campagne Sarkozy 2012, l’ancien patron de l'UMP a tiré quelques salves en direction de ses anciens rivaux au sein de son parti, qui l’auraient sali.
L’ex-ministre Pierre Lellouche assure que Jean-François Copé ne l’a jamais appelé quand le scandale Bygmalion a explosé, contrairement au témoignage de l'ancien patron de l'UMP devant le tribunal. Mais Lellouche avait dit le contraire devant les enquêteurs en 2014.
Nicolas Sarkozy, dont la stratégie consiste à n’avoir assisté jusqu’ici à aucune des audiences du procès de sa campagne présidentielle de 2012, doit être interrogé, mardi 15 juin, par le tribunal correctionnel de Paris. Il risque un an de prison.
L’ancien chef de l’État reconnaît une responsabilité dans le déroulement de sa campagne de 2012, mais dément avec force avoir commis la moindre irrégularité, tout en chargeant le clan Copé.
Une peine d’un an de prison dont six mois avec sursis a été réclamée ce jeudi 17 juin contre l’ancien président-candidat pour le truquage de ses comptes de campagne 2012. « Le paradoxe de cette affaire, c’est que les moins malhonnêtes sont les hommes d’affaires », a cinglé un des magistrats.
Le long procès de l’affaire des comptes de campagne de l'élection présidentielle de 2012 de Nicolas Sarkozy s’est achevé mardi 22 juin. Le jugement a été mis en délibéré au 30 septembre.
L’ancien président doit comparaître devant la cour d’appel de Paris à partir de mercredi jusqu’au 8 décembre dans l’affaire des fausses factures de la société Bygmalion pour sa campagne de 2012. Il a été condamné à un an de prison ferme en première instance.
Face à des apparatchiks amnésiques, Guy Alves, cofondateur de Bygmalion, a souligné devant la cour d’appel que Nicolas Sarkozy était « le seul bénéficiaire » de la fraude consistant à faire payer par l’UMP les dépenses du candidat pour sa campagne de 2012.
Devant la cour d’appel, Jérôme Lavrilleux, ancien directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy, s’est défendu d’avoir été le « deus ex machina » de l’affaire. L’ancien président doit être entendu vendredi.
Lors de son interrogatoire par la cour d’appel, l’ancien président a une nouvelle fois soutenu avoir ignoré le système qui a servi à dissimuler le vrai montant des dépenses électorales de sa campagne – à hauteur de 42,7 millions d’euros. Il a accusé l’entourage de Jean-François Copé d’avoir planifié une fraude pour s’enrichir.
Rejugé pour avoir explosé le plafond légal de sa campagne présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy n’a pas été accablé par le parquet général, qui a requis jeudi contre lui une peine d’un an de prison avec sursis.
L’ancien chef de l’État a été reconnu coupable de « financement illégal » pour sa campagne électorale de 2012, mercredi devant la cour d’appel de Paris. Il écope d’une peine d’un an de prison dont six mois avec sursis.
Newsletters
Découvrez les newsletters de Mediapart
Recevez directement l’info de votre choix : Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l’air libre, Écologie, Enquête …
En 2005, poursuivis par la police, les jeunes Zyed Benna et Bouna Traoré perdaient la vie dans un transformateur électrique de Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Un embrasement des banlieues allait suivre et avec lui, la révolte des quartiers populaires, cibles de discriminations structurelles.…
En plus de ceux pour lesquels il a déjà été jugé ou va être rejugé, Nicolas Sarkozy est menacé par au moins trois autres dossiers judiciaires : un volet rocambolesque de l’affaire libyenne avec la fausse rétractation de Takieddine ; ses relations avec le Qatar ; et ses liens financiers avec la Russie…
À quoi sert l’archéologie ? Pourquoi dérange-t-elle nos politiques au point que l’actuelle ministre de la Culture s’en est prise aux chantiers d’archéologie préventive ? Réponse dans trois émissions de « L’Échappée » dont les invités sont des historiens incarnant cette discipline qui oblige à regarder…