Selon nos informations, le parquet fédéral suisse vient de notifier un nouveau chef d’accusation, celui d’« escroquerie », à l’ancien président de l’UEFA, ainsi qu’à l’ex-patron de la Fifa Sepp Blatter, dans l’affaire du « paiement différé » de 1,8 million d’euros versé par la Fifa à Michel Platini en 2011.
Un ex-lycéen a raconté à Mediapart, documents à l’appui, comment un responsable de son rectorat l’avait démarché lors de la création d’Avenir lycéen. Au même moment, un compte officiel du ministère diffusait des messages favorables au syndicat pro-Blanquer.
Selon un document obtenu par Mediapart, le projet de conseil national des imams, placé sous la dépendance du CFCM, prévoit un agrément avec possibilité de retrait en cas de manquement éthique. Voulu par l’Élysée, il met surtout fin aux espoirs de rénovation du culte suscités par le candidat Macron en 2017.
L’intermédiaire sarkozyste est bien lié à une société offshore au cœur de l’une des filières de corruption présumée de l’affaire des financements libyens. Les documents bancaires obtenus par les juges le démontrent. Djouhri, lui, s’enferre dans le déni.
Dans son rapport publié le 24 novembre, le Haut Conseil pour le climat dénonce le retard de la France en matière de rénovation énergétique. Plusieurs dispositifs, pourtant, sont censés favoriser la transition. Mais ils sont aussi la source de grossières dérives. Enquête sur un chantier d’isolation qui a mal tourné.
La chambre régionale des comptes, dans un rapport qui sera rendu public vendredi 27 novembre et auquel Mediapart a eu accès, dévoile comment Christian Estrosi contourne les règles de la fonction publique pour recruter au prix fort des personnalités utiles à sa carrière politique.
Cynthia, 37 ans, se bat pour faire reconnaître les violences que lui a infligées son ex-conjoint, mais aussi pour le bien-être de leur enfant. Face à l’attitude de plusieurs policiers, et à des procès-verbaux qu’elle juge « mensongers », elle a saisi l’IGPN et le ministère de l’intérieur dès 2018.
Alain Griset fait l’objet de deux enquêtes judiciaires pour ne pas avoir déclaré à la Haute Autorité de la transparence de la vie publique un plan d’épargne en actions, sur lequel il a effectué des opérations suspectes.
Au Maroc, le journaliste Imad Stitou, qui témoigne d’une « relation consentie » entre son confrère Omar Radi et la jeune femme qui l’accuse de viol, comparaît mercredi 25 novembre devant le juge d’instruction. Il est à son tour poursuivi pour « complicité de viol ». Suite de l'enquête de Mediapart et l’Humanité.
Alors qu’un animateur d’une école maternelle parisienne a été suspendu après des accusations de violences sexuelles sur des enfants, des parents estiment avoir eu « zéro écoute » des institutions (justice, école, mairie).
Treize enfants d’une école maternelle parisienne ont été auditionnés dans une enquête pour « agression sexuelle et viol sur mineurs » visant un animateur. Classé sans suite après seulement trois mois d’investigation, ce dossier a été rouvert et confié à une juge d’instruction. Notre enquête révèle des dysfonctionnements majeurs et des refus d’enregistrement de plaintes.
Depuis nos premières révélations sur Avenir Lycéen, le ministère de l’éducation assure ne jamais avoir entretenu de relation « politique » avec ce syndicat pro-gouvernement. Une réunion et des échanges impliquant directement le ministre prouvent le contraire.
Deux producteurs français, et deux collaborateurs, ont été mis en examen pour « viols », « proxénétisme aggravé » et « traite d’êtres humains aggravée ». Dans leur ombre, les leaders du secteur : Dorcel et Jacquie & Michel. Mediapart révèle le contenu des réquisitions du parquet.
Archivée dans le dossier d’instruction sous l’intitulé « COMMUNICATION 47 », il s’agit de l’écoute qui, de sources judiciaires, « tient » le dossier « Bismuth » et a permis de consolider les charges justifiant le premier procès de Nicolas Sarkozy et ses deux coprévenus. Voici pourquoi.
Tortures, déportations, campagne de « rééducation », travail forcé, violences sexuelles, stérilisations et avortements massifs sous la contrainte… L’ampleur et la sophistication de la répression de la minorité musulmane par le pouvoir chinois sont de plus en plus documentées.
L’attitude de la police de l’Uttar Pradesh, qui a brûlé le corps d’une intouchable de 19 ans tuée après avoir été violée, sans le consentement de la famille, laisse planer des soupçons de connivence avec les auteurs. Les violences envers cette cette classe sociale défavorisée se multiplient en Inde.