Journaliste et responsable du pôle politique de Mediapart.
En charge de l’animation de la couverture éditoriale sur les extrêmes droites. Pour nous écrire : extremedroite@mediapart.fr
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
À l'invitation d’une association proche du pouvoir syrien, un groupe de cinq députés LR mais aussi le polémiste André Bercoff ou encore l'ancien président du Front national de la Jeunesse ont passé le week-end pascal à Damas. Au programme : visite du souk, messe de Pâques et rencontre avec Bachar al-Assad.
Dès l’annonce des attentats de Bruxelles, plusieurs élus socialistes, dont le président du groupe à l’Assemblée Bruno Le Roux, ont accusé la droite de bloquer la réforme constitutionnelle. Le Sénat a adopté mardi un texte largement amendé.
Le siège de LR (ex-UMP) a été perquisitionné lundi 21 mars, dans le cadre d’une enquête visant la campagne malheureuse que Claude Guéant avait menée à Boulogne (Hauts-de-Seine), pour les législatives de 2012.
Faute d’accord avec LR (ex-UMP), l’UDI appelle ses adhérents à voter contre une participation à la primaire de 2016. Un boycott qui pourrait bien arranger les affaires de Nicolas Sarkozy.
En adoptant jeudi soir une version largement remaniée de l'article 2 du projet de réforme constitutionnelle, qui revient à viser les seuls binationaux, le Sénat plante un dernier clou sur le cercueil. François Hollande se donne jusqu'au vote solennel des sénateurs pour prononcer ce qui devrait être une oraison funèbre.
Le nouveau patron de l’exécutif corse, Gilles Simeoni, accuse son prédécesseur d’avoir laissé derrière lui 100 millions d’euros d’impayés. Le député PRG impute cette polémique à la « mauvaise foi » des nationalistes.
La commission des lois du Sénat a modifié le projet de réforme constitutionnelle dite de « protection de la Nation ». La droite, majoritaire, a choisi de limiter la déchéance de nationalité aux binationaux, signant l'avis de décès probable du texte.
Un mois après son adoption à l’Assemblée, la réforme constitutionnelle arrive au Sénat. Pour éviter les navettes parlementaires qui la mettraient en péril, Manuel Valls a demandé aux sénateurs de l’adopter « dans les mêmes termes ». Mais la droite, majoritaire au palais du Luxembourg, ne l’entend pas de cette oreille. Et le piège se referme sur le pouvoir.
L’ancien ministre se présente comme le chantre du « renouveau », prêt à en découdre avec « les mêmes têtes, les mêmes idées et les mêmes comportements ». Mais au-delà des effets de com’, peu de choses, dans son parcours politique ou ses prises de position, le distinguent de ses adversaires à la primaire.
Coincée par la tonalité libérale du projet de loi sur le travail, la droite n’avait pas grand-chose à redire sur le fond de la réforme. Face au pouvoir qui a définitivement annexé son territoire, l’opposition critique, mais seulement pour la forme.
Pour battre Nicolas Sarkozy à la primaire, Alain Juppé adopte une stratégie de campagne qui ressemble à s’y méprendre à celle qu’avait élaborée François Hollande en 2012.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Six mois après les révoltes en Nouvelle-Calédonie, Mediapart est parti à la rencontre des indépendantistes kanak, en tribu, dans les quartiers populaires de Nouméa, mais aussi en « brousse », au nord de la capitale. Avec pour objectif de donner la parole à celles et ceux qui en sont d’ordinaire privés.
Mediapart lance « L’Œil de la recherche », une série de chroniques pour analyser les dynamiques des extrêmes droites françaises, européennes et mondiales. Loin des petites phrases, des coups de com’ et des bavardages.
Reportage, analyses, enquêtes... Dans le cadre du renforcement de sa couverture éditoriale sur les extrêmes droites, Mediapart a choisi d’investir deux postes d’observation dans lesquels elles sont au pouvoir : au gouvernement en Italie et à la tête de certaines municipalités dans le sud de la France.
Dans un contexte de plus en plus alarmant, Mediapart renforce encore sa couverture des extrêmes droites et lance une newsletter dédiée dans laquelle vous pourrez retrouver, chaque mois, nos enquêtes, nos reportages, nos analyses, mais aussi des rendez-vous inédits afin de casser la vitrine de la « normalisation ».
L’enquête préliminaire contre X..., ouverte en janvier 2013 à la suite d’une plainte pour « détournement de biens publics », déposée par un militant écologiste contre le député et maire UMP de Nice, a été classée sans suite le jeudi 7 novembre. Le plaignant pointe du doigt « les étonnantes conclusions des enquêteurs ».