Cette démission est la conséquence de l’annulation de la présidentielle en décembre, remportée par le candidat d’extrême droite, sur fond d’accusation d’ingérence russe et de la vaste mobilisation qui a suivi. Son mandat devait initialement se terminer fin 2024.
Des dizaines de milliers de personnes ont défilé, dimanche 9 février, dans la capitale espagnole pour dénoncer l’inaction des autorités régionales face à la crise du logement. La situation est pire qu’avant l’implosion de la bulle de 2007, alertent les associations.
La croissance espagnole fait rêver une partie de la gauche européenne qui croit voir dans l’action de Pedro Sánchez un modèle. Mais c’est passer un peu rapidement sur les particularités de la situation économique du pays.
La députée a participé samedi à Madrid à un bruyant meeting des extrêmes droites européennes, aux côtés du Hongrois Viktor Orbán ou de l’Italien Matteo Salvini, tous très fervents soutiens de Donald Trump. Au risque de brouiller la ligne du RN, resté jusqu’à présent plutôt prudent sur le cas Trump depuis sa réélection.
Les trois pays ont lancé des réformes pour remettre la main sur les ressources de leur sous-sol. Ils n’ont pas hésité à engager des bras de fer avec de puissantes compagnies étrangères, dont certaines refusent de se plier aux nouvelles règles. Le Sénégal pourrait les suivre.
Pour son deuxième mandat, Donald Trump est décidé à passer au bulldozer en ignorant les limites juridiques constitutionnelles et légales. Entretien avec Heidi Kitrosser, professeure à l’université Northwestern, spécialiste des questions de séparation des pouvoirs et de la liberté d’expression.
En s’attaquant à l’État de droit, le président états-unien affaiblit les contre-pouvoirs et désarme la résistance. Pour s’opposer à la catastrophe, il est urgent de la regarder en face.
Minoritaire au Congrès, le Parti démocrate en est réduit à des actions coups-de-poing pour se faire entendre. Les politiques dévastatrices d’Elon Musk lui en donnent de nombreuses occasions. Et certaines mesures prises par Donald Trump se révèlent impopulaires.
Dans « Giovanni Falcone », l’écrivain documente le « courage » du juge assassiné par la mafia en 1992. Invité d’« À l’air libre », il évoque l’ampleur du narcotrafic et juge qu’il faut « légaliser » les drogues. Il alerte : en France, l’extrême droite aussi peut arriver au pouvoir.
Le groupe armé poursuit son avancée dans l’Est du Congo, avec l’appui du Rwanda voisin, et menace désormais Bukavu, ville d’un million d’habitants. Une rencontre est prévue le 8 février entre les chefs d’État congolais et rwandais.
Près de trois semaines après l’arrivée de Donald Trump au pouvoir, la résistance s’organise. Les grandes manifestations de 2017 ont toutefois laissé place outre-Atlantique à de nouvelles formes de mobilisation, mais aussi aux doutes.
La droite, ralliée par l’extrême droite, lance l’offensive contre les ONG qui œuvrent à Bruxelles. Selon ces élus, les organisations ne devraient pas utiliser de fonds européens pour des activités de lobbying. Celles-ci répliquent en dénonçant une « attaque contre la démocratie ».
Le directeur du dernier hôpital en activité dans le nord de Gaza est en prison depuis la fin décembre et son arrestation par les autorités israéliennes. Sa famille s’inquiète de ses conditions de détention et témoigne de son engagement au service de la cause palestinienne.
Le président états-unien reproche à la Cour pénale internationale d’avoir mené des « actions illégales ». « Je félicite vivement le président Trump », commente le ministre israélien des affaires étrangères. L’ONU « regrette profondément » cette décision.
L’Ukraine était jusqu’à présent la principale bénéficiaire de l’USAID, l’agence des États-Unis pour le développement international, dont Donald Trump a annoncé la suspension immédiate. La ville de Mykolaïv, près du front, attendait des financements, de l’essence ou encore des matériaux de construction.
Bart De Wever, le leader nationaliste flamand, a été investi comme premier ministre d’une coalition de cinq partis. Avec l’aide des libéraux francophones, il a défini un agenda de réduction de l’État social, de durcissement des politiques migratoires, et cherche à affaiblir le niveau fédéral.