La nouvelle droite américaine, qui irrigue toute la pensée de Donald Trump et de ses partisans, s’est réunie début juillet à Washington. L’objectif : préparer une future administration républicaine au service de leurs obsessions idéologiques. Parmi les participants, le sénateur J. D. Vance.
Lors de sa première apparition après la tentative d’assassinat qui l’a visé, Donald Trump a dévoilé le nom de son vice-président pressenti : James David Vance, sénateur qui « se moque de ce qui peut arriver à l’Ukraine » et voudrait couper toute aide à Kyiv.
Dans des décisions rendues le 11 juillet, la Cour nationale du droit d’asile a transposé, à sa manière, une jurisprudence européenne datant du début d’année, qui suggérait de protéger les femmes lorsque celles-ci subissent des persécutions parce qu’elles sont femmes.
L’armée israélienne a encore intensifié ses attaques contre la bande de Gaza. Elle affirme avoir visé deux hauts dirigeants du Hamas, dont le chef de la branche armée, Mohammed Deïf. Mais encore une fois, la majorité des victimes sont des civils. Ce qui fragilise les négociations en cours.
Donald Trump doit être investi candidat pendant le grand rassemblement du Parti républicain, qui s’ouvre lundi 15 juillet. Avec sa tentative d’assassinat, vue ici comme « le baroud d’honneur du Mal pour l’empêcher de revenir au pouvoir », il est attendu en messie.
De nombreuses entreprises francophones ont recours aux « travailleurs du clic » malgaches pour entraîner les modèles d’intelligence artificielle. Sous couvert d’éthique, elles profitent en réalité d’une main-d’œuvre peu chère et souvent peu considérée.
L’ex-président a exhorté les Américains à l’unité, dimanche 14 juillet, au lendemain d’une tentative d’assassinat dont il a réchappé blessé à l’oreille et qui précipite dans l’inconnu une campagne présidentielle déjà sous haute tension.
La rumeur d’une déflagration générale entre Israël et le Hezbollah libanais court à travers le Proche-Orient depuis des semaines, confortée par une escalade verbale et militaire. Au Liban, les observateurs et la population pensent cependant qu’elle n’aura pas lieu.
L’extrême volatilité de certaines situations politiques nationales et internationales est-elle la marque de fabrique de la décennie ? Après le retrait des forces américaines de Kaboul en 2021, l’invasion de l’Ukraine en 2022 et les attaques du 7 octobre 2023 en Israël, une nouvelle guerre au Liban menace.
Une dizaine de militants, auteurs et journalistes vivant – ou ayant vécu ces dernières années – dans des pays dirigés par l’extrême droite partagent leurs conseils pratiques pour y faire face et avertissent les Français : tout se joue maintenant.
Scruté pendant sa conférence de presse au sommet de l’Otan jeudi 11 juillet, le président américain a oscillé entre solidité et maladresses. Il a confirmé maintenir sa candidature à sa réélection tandis qu’une deuxième vague d’élus démocrates a appelé à son retrait dès sa descente de l’estrade.
Actuellement réfugiée à Deir el-Balah, entre Gaza City et Rafah, Farida Adel Alghoul, déplacée plus d’une vingtaine de fois depuis le début de la guerre, témoigne du combat quotidien pour survivre sous les bombes d’Israël.
Personnellement ciblé lors des huit années de gouvernement d’extrême droite dans son pays, le journaliste polonais Wojciech Cieśla retrace avec une précision clinique le lent démantèlement des contre-pouvoirs en Pologne, et livre quelques pistes pour y résister.
Légende de l’activisme non violent aux États-Unis, la militante Lisa Fithian a accepté de livrer à Mediapart ses conseils pour dépasser la « peur, le choc et la démobilisation » face à l’extrême droite. Son maître-mot : s’organiser.
Les alliés, réunis à Washington, devraient évoquer la défense du ciel ukrainien, alors que des frappes russes ont touché un hôpital pour enfants lundi 8 juillet et fait au moins 27 morts dans la capitale. Mais les soutiens de Kyiv s’attendent à être déçus par les résultats concrets de ce sommet.
Une jeune femme a déposé plainte pour viol en réunion, dimanche 7 juillet en Argentine, contre deux joueurs de l’équipe de France, qui évoquent une relation « consentie ». Un nouveau scandale pour les Bleus, mais surtout une nouvelle affaire de violences sexuelles pour le rugby professionnel.