Au procès Ulysse, trois terroristes djihadistes ont été condamnés à des peines allant de vingt-deux à trente années de réclusion criminelle. C’était « le dossier épilogue de la campagne d’attentats meurtrière ayant frappé l’Europe en 2015 et 2016 », selon le ministère public.
Alors que la France n’est pas encore au bout de la crise du Covid-19, un constat s’impose : si la société entière souffre, les riches, eux, se portent bien. Dès lors, la question de leur contribution se pose comme une évidence.
Parmi les trois hommes jugés pour des préparatifs d’attentats, Hicham el-Hanafi capte toute l’attention. Il présente un profil assez unique dans l’histoire du djihad récent, ayant visité entre 2013 et 2016 vingt-quatre pays sur quatre continents.
La pandémie ne recule pas mais certaines entreprises semblent être lassées de laisser leurs employés travailler chez eux. Voilà le gouvernement obligé de rappeler que le télétravail est la règle. Mais quels moyens a encore le politique pour que le patronat lui obéisse ?
La défense des hommes accusés d’avoir voulu commettre un nouveau 13-Novembre tente de percer les zones d’ombre de la cyber-infiltration conduite par les agents de la DGSI qui, à l’audience, ont louvoyé avec la vérité. Récit d’un dialogue de sourds.
À Washington, le 6 janvier dernier, les partisans de Donald Trump ont mis en scène une véritable bataille des corps : masculin, blanc, souverain et sans masque. C’est une réponse directe à la révolution transféministe et antiraciste en cours, et le signe d’une réforme patriarcale et coloniale en construction.
Les décisions du gouvernement nous désorientent et nous empêchent de nous projeter, ne serait-ce qu’à une semaine. Ce n’est bon pour personne. L’isolement ronge tout le pays, qui sombre doucement dans un état de dépression avancé.
Dans Théologie du capital, essai percutant qui systématise les intuitions de Proudhon, Marx, ou encore Walter Benjamin, Édouard Jourdain démontre que l’économie, c’est la continuation de la doctrine de la foi par d’autres moyens.
Les potentiel·le·s candidat·e·s à 2022 rongent leur frein car le contexte de pandémie mondiale laisse peu d’espace à leurs manœuvres médiatiques. Pourtant, chacun·e s’affaire à donner à la presse des signes de sa « disponibilité ». Mais qu’est-ce qu’un bon présidentiable ?
L’investiture de Biden participe d’une restauration élitiste, après les révoltes anti-oligarchiques dans les démocraties occidentales. Mais un mouvement populaire puissant pourrait l’inciter à réformer.