Comme il y a 8 ans, et comme son époux Bill il y a 24 ans, l’ex-First Lady doit se battre dans le New Hampshire pour décrocher l’investiture démocrate à la présidentielle. La nouveauté est que le contexte a changé : l’Amérique regarde désormais à gauche.
Les électeurs de l'Iowa se sont prononcés dans la course à la Maison Blanche : Ted Cruz finit en tête chez les républicains ; Hillary Clinton et Bernie Sanders sont au coude-à-coude. Mais ce n'est que le début...
Rarement autant de candidats ultraconservateurs se sont présentés pour obtenir la nomination du parti républicain dans la course à la Maison Blanche. C'est le signe d'un malaise profond ancré dans la crainte des changements du pays.
En attendant le premier vote des primaires américaines, dans l'Iowa le 1er février 2016, la course à la candidature pour avoir le droit de se présenter à la Maison Blanche est régie par trois ingrédients qui visent à faire grimper sa courbe de popularité à coups de déclarations à l'emporte-pièce.
En janvier 2016, Barack Obama a de nouveau promis de fermer Guantanamo. Comme lors de sa campagne de 2008, comme à son arrivée à la Maison Blanche en 2009… Mais rien n’y fait : 91 personnes sont encore enfermées à « Gitmo ». Comment expliquer cette impasse ?
Depuis la crise des enfants migrants à l’été 2014, Washington réinvestit la région centraméricaine. Militarisation, lutte contre la corruption, capitaux étrangers et accords de libre-échange : pour le géant américain, tout est bon dès qu'il s'agit de protéger ses frontières du narcotrafic et de l’immigration.
Qui sortira le Venezuela de la crise économique ? L'opposition parlementaire, qui souhaite pousser le président Nicolas Maduro vers la sortie, subit pour l'instant le rythme du gouvernement. Dans ce bras de fer institutionnel, chaque camp veut apparaître comme le sauveur.
D’Occupy Wall Street au succès américain de l’ouvrage de Thomas Piketty, la problématique des inégalités économiques s’est imposée dans le débat public aux États-Unis. Et s’est donc logiquement invitée dans la campagne présidentielle.
L’ancien comédien Jimmy Morales est devenu hier le 50e président du Guatemala. « Ni voleur, ni corrompu », l’humoriste affiche pourtant un classique programme libéral-conservateur. Sans majorité parlementaire et avec des soutiens embarrassants, la tâche s’avère compliquée…
300 millions d'armes circulent dans le pays. Pourquoi les États-Unis ont-ils autant de difficultés à avancer sur ce sujet des armes à feu, malgré les tueries à répétition ?
La perte du « parrain » Hugo Chavez est difficile à surmonter pour le régime d’Ortega. D’où la volonté de se tourner vers les Chinois. Pour un chenal transocéanique ou pour quelque chose de bien moins ambitieux ?
Autrefois révolutionnaire, Daniel Ortega est revenu au pouvoir il y a huit ans, avec la ferme intention de ne plus le lâcher. Quitte à affronter ses anciens camarades et à faire allégeance au néolibéralisme.
Le gouvernement sandiniste a annoncé il y a deux ans l’ouverture d’ici à 2020 d’un nouveau chenal transocéanique. Un projet gigantesque qui passe par l’expropriation de dizaines de milliers de paysans et des dégâts environnementaux considérables.
Donald Trump, candidat à l’investiture du parti républicain, n’en finit pas d’occuper l’espace médiatique. Dominant ses concurrents dans les sondages, brouillant le débat avec ses déclarations à l’emporte-pièce, il a imposé son rythme aux médias, qui gonflent le phénomène.
Alors qu'une procédure de destitution a été lancée contre la présidente brésilienne sur fond de corruption généralisée de la classe politique, la population affiche une désillusion croissante à l’égard de la démocratie rétablie en 1985.
La coalition d'opposition a remporté le 6 décembre une large majorité de sièges à l'Assemblée nationale, une victoire sans précédent depuis l'arrivée au pouvoir d'Hugo Chavez il y a 16 ans. Deux options se présentent: composer ou s'affronter dans un pays où la polarisation des camps est extrême.