Alors que la pression sur les services de réanimation s’intensifie, Mediapart dresse le portrait des travailleurs de première ligne qui s’y démènent et des métiers invisibles qui s’y exercent. Aujourd’hui, Valérie Sellier, assistante médico-administrative.
Alors que la pression s’intensifie sur les services de réanimation, Mediapart dresse le portrait de travailleurs de première ligne, parfois invisibles, à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. Aujourd’hui, Anne-Sophie Bretaud, infirmière.
Une grande partie des personnes porteuses d’un handicap mental ne sont toujours pas prioritaires à la vaccination, contrairement à ce qui se pratique dans des pays voisins. Elles ont pourtant sept fois plus de risque de décéder des suites d’un Covid-19.
L’ouverture du vaccinodrome du Stade de France, à Saint-Denis, mardi 6 avril, vise à illustrer l’accélération de la campagne de vaccination contre le Covid-19. Mais la stratégie actuelle est inadaptée aux réalités de terrain. Les élus locaux ont pris les devants en ouvrant la porte à la vaccination d’une population plus jeune.
Alors que la pression s’intensifie sur les services de réanimation, Mediapart dresse le portrait de travailleurs de première ligne, parfois invisibles, à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. Aujourd’hui, Virginie Martin, aide-soignante.
Alors que la pression s’intensifie sur les services de réanimation, Mediapart dresse le portrait de travailleurs de première ligne, parfois invisibles, à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. Aujourd’hui, Igor Théodose, attaché de recherches cliniques.
Des ministres ont-ils participé à des dîners clandestins à Paris, en contravention avec les mesures sanitaires en vigueur ? Une enquête a été ouverte dimanche après la diffusion d’un reportage où une source anonyme l’affirme.
Alors que la pression sur les services de réanimation s’intensifie, Mediapart dresse le portrait des travailleurs de première ligne qui s’y démènent et des métiers invisibles qui s’y exercent. Aujourd’hui, Neilla Laurent, cadre de santé à l’hôpital Saint-Louis, à Paris.
Des témoignages accablants d’internes en gynécologie-obstétrique au CHU de Poitiers font état de harcèlement moral par leurs supérieurs hiérarchiques. Après avoir tardé à prendre des mesures, la directrice générale Anne Costa cherche à sauver la face du service.
L’argument revient souvent : si l’élément déclencheur du Covid-19 n’avait pas emporté ces Français plus vieux, plus faibles, une autre maladie s’en serait chargée dans le même temps. Mediapart démêle le vrai du faux des spéculations avec ou sans fondement, à la lumière d’une science, la démographie.
La mobilisation s’amplifie dans les établissements touchés par le Covid. Le personnel enseignant dépose de nombreux droits de retrait pour « danger imminent », jugés injustifiés par l’administration.
L'entreprise a été condamnée pour homicides et blessures involontaires et pour tromperie aggravée. Mais les victimes déplorent qu'aucune peine de prison ferme n’a été prononcée à l’encontre des anciens responsables ou consultants du laboratoire qui a commercialisé l’anti-diabétique déguisé en coupe-faim.
L’augmentation du nombre de cas est exponentielle dans les établissements scolaires, qu’il s’agisse d’élèves ou de personnels, parfois victimes de Covid grave. L’Éducation nationale refuse souvent de fermer les établissements. Mais partout, l’inquiétude gagne.
En Île-de-France, les malades graves affluent à l’hôpital, à un rythme jamais vu depuis le pic de la première vague, il y a tout juste un an. Dans le reste de la France, l’épidémie progresse presque partout. Les restrictions annoncées jeudi dernier seront sans effet.
Mesures sanitaires complexes, bévue sur les attestations de sortie, lassitude des Français face à de nouvelles restrictions de liberté… le reconfinement s’annonce plus dur à mettre en œuvre que l’an dernier.
L’Agence européenne des médicaments juge les bénéfices du produit supérieurs aux risques. Mais elle ne peut exclure un lien possible entre le sérum et la survenue de rares cas graves de thromboses, touchant majoritairement des femmes de moins de 55 ans. La Haute Autorité de santé recommande donc la reprise de la campagne de vaccination à l’AstraZeneca, mais seulement pour les plus âgés.