Pour la première fois depuis la chute de Bachar al-Assad, des milices de l’ancien régime et les nouvelles autorités de Damas ont combattu dans la région alaouite de Lattaquié. Plusieurs centaines de personnes sont mortes, y compris des civils.
En dépit de ce qu’il peut dire sur sa volonté de « négocier », Vladimir Poutine n’est pas prêt à baisser les armes, car il n’a pas atteint son objectif : contrôler le destin politique de sa voisine et contribuer à y installer un régime « ami » de Moscou.
Les Vingt-Sept ont mis en scène jeudi leur détermination à « se réarmer » massivement lors d’un sommet extraordinaire à Bruxelles. Mais le Hongrois Viktor Orbán, proche de Vladimir Poutine, s’est refusé à signer une partie des conclusions portant sur l’aide à l’Ukraine et les négociations de paix à venir.
L’administration a mis à la porte un très grand nombre de scientifiques dans les agences fédérales. Celles et ceux qui restent se taisent et doivent censurer leurs travaux. Mais la mobilisation s’organise, avec une première mobilisation internationale vendredi 7 mars.
70 humains touchés, plus de 900 élevages laitiers infectés : la grippe aviaire qui se propage outre-Atlantique ne se limite plus aux oiseaux. Un contexte à haut risque sur lequel l’administration Trump entretient le flou.
« Riposte graduée », « humiliation », « rapport de force » : Bruno Retailleau fait monter la tension envers l’Algérie, dont le pouvoir ne cesse de se raidir. Quelles sont les vraies raisons de cette escalade ? Peut-on en sortir, et comment ?
Dans les pays de l’ancien « bloc de l’Est » aujourd’hui membres de l’Union européenne, les coupes dans les fonds de l’USAID mettent en lumière la dépendance toujours forte des acteurs de la société civile aux financements étrangers. À Budapest, Viktor Orbán s’en félicite.
Emmanuel Macron a posé des mots graves sur la situation internationale, mercredi 5 mars, lors d’une allocution télévisée. Actant le début d’une « nouvelle ère » où « la menace revient à l’est », le chef de l’État a tenté de préparer les esprits à des choix budgétaires radicaux pour financer l’effort de défense.
L’arsenal nucléaire français est censé protéger les « intérêts vitaux » du pays. Remise en avant par Emmanuel Macron, la « dimension européenne » de ces intérêts vitaux suscite une grande méfiance parmi des forces très différentes de l’opposition. Mais de quoi parle-t-on ?
Sans le parapluie des États-Unis et face à un voisin menaçant comme la Russie, les pays européens sont-ils démunis ? Plusieurs raisons justifient un effort de défense, mais l’argent ne peut pas tout.
Face à une économie en crise et au risque d’une défection militaire américaine en Europe, la coalition en cours de formation entre sociaux-démocrates et conservateurs a décidé d’ouvrir les vannes du crédit. C’est le début de la fin du fameux « frein à l’endettement ».
Joe Biden a laissé à Donald Trump un arsenal sans précédent d’outils de surveillance biométrique, de géolocalisation ou d’intrusion informatique qui l’aideront à réaliser son projet migratoire de « plus grande opération de déportation de l’histoire ».
Le président des États-Unis a décidé de suspendre l’aide militaire à l’Ukraine, pourtant décisive pour la défense du pays. Les Ukrainiens ont tenté de montrer leur bonne volonté quelques heures plus tard, en proposant « une trêve » dans les airs et en mer, malgré le choc de cette « trahison ».
Donald Trump suspend l’aide militaire à l’Ukraine après avoir humilié Volodymyr Zelensky à la Maison-Blanche. L’Union européenne veut s’armer davantage, et le gouvernement français prépare les esprits à « l’économie de guerre ». La guerre est-elle le nouvel horizon de l’Europe ?
La « Riviera du Moyen-Orient » que Trump voulait créer dans le territoire palestinien après en avoir expulsé les habitants ne verra sans doute pas le jour. Les pays arabes réunis en sommet mardi 4 mars proposent une alternative, tandis que Nétanyahou affronte de multiples mises en garde.
La cryptomonnaie Libra, promue par le président Milei, était censée aider au développement des petites entreprises argentines. À la place, elle a provoqué le plus grave scandale de sa présidence et, selon le magazine « Forbes », « le plus grand vol de cryptos de l’histoire ».