Les salariés du McDo des quartiers nord de Marseille viennent de remporter une bataille contre l’enseigne qui souhaitait céder leur restaurant à une société qu’ils jugeaient très opaque. La justice vient d’interdire cette cession.
Une manifestation a réuni les différents collectifs en lutte pour la défense de la psychiatrie publique dans la capitale, le 6 septembre, alors que les trois établissements parisiens pourraient fusionner.
Une grève interprofessionnelle est prévue le 9 octobre 2018. Les rencontres bilatérales avec les partenaires sociaux, organisées par Matignon, n’ont pas convaincu les syndicats, qui craignent notamment une remise en cause violente de l’assurance-chômage.
Le syndicat a fait les comptes à partir d’un échantillon de 1 700 annonces : la moitié des offres publiées sur le site de Pôle emploi sont trompeuses, fantaisistes ou tout simplement illégales. L’opérateur préfère retenir que selon ses décomptes, 9 offres sur 10 correspondent aux obligations légales.
Au cœur des quartiers Nord de Marseille, la mobilisation ne cesse de grandir contre le projet de cession du Mac Donald’s de Saint-Barthélemy. Pour les salariés comme pour les habitants, il représente bien plus qu’un simple restaurant.
Le tribunal a renvoyé au 3 septembre l’examen d’un projet de cession de six McDonald’s marseillais. Épicentre de la contestation syndicale, celui des quartiers Nord devait mettre la clé sous la porte début août. Les représentants du personnel poursuivent la mobilisation.
Le Portugal, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, la Hollande… Depuis cet été, la compagnie Ryanair est visée par une grève européenne, inédite par son ampleur et le nombre de pays impliqués. Ryanair est pour la première fois questionné frontalement sur son modèle social low cost. Le mouvement pourrait se poursuivre en septembre, selon les syndicats.
En réalisant le documentaire Mai 68 n’a pas duré qu’un mois, diffusé sur Mediapart, Olivier Besancenot, Florence Johsua et Tancrède Ramonet ont voulu mettre en avant celles et ceux qui n’ont pas renié leurs idéaux, après avoir été transformés par l'événement. Dans un entretien à Mediapart, ils confient leurs espoirs d’une relance des contestations populaires.
Le gouvernement a réussi à boucler en un temps record une vaste réforme, qui va bouleverser le quotidien des salariés, des travailleurs indépendants, des demandeurs d'emploi et des apprentis. L'exécutif assure que son texte, définitivement adopté mercredi 1er août, apporte de nouveaux droits et des protections inédites. C'est vrai seulement pour un petit nombre de Français.
Les grévistes sont dans le collimateur de la SNCF. Des procédures disciplinaires ont été déclenchées contre plusieurs cheminots, à Paris, Lille, Nîmes et Rennes. Les cheminots visés ont tous participé au mouvement de grève et ont des mandats syndicaux.
Épicentre de la contestation syndicale chez McDonald’s, le restaurant des quartiers Nord de Marseille devrait mettre la clé sous la porte début août. L'entreprise souligne les pertes financières récurrentes, mais les représentants du personnel dénoncent la volonté de les faire taire. Soixante-dix salariés portent plainte pour tentative d'escroquerie.
La réunion d’Emmanuel Macron avec les syndicats et le patronat, dans les salons élyséens, avait un objectif assez clair : renouer le fil avec les corps intermédiaires. Le président en a profité pour relancer une énième négociation sur l’assurance-chômage.
La luxueuse chaîne de boutiques souhaite licencier un salarié, délégué du personnel, depuis début 2016. Une volonté qui se heurte à des refus répétés de l’administration. Le salarié a porté plainte pour harcèlement moral et sexuel.
Un an après un premier mouvement social, des coursiers à vélo tentent à nouveau d’organiser une mobilisation pour dénoncer leurs relations avec les plateformes de livraison de repas. Un amendement appuyé par le gouvernement les inquiète tout particulièrement.
Chaque année, plusieurs centaines de salariés dont le licenciement est jugé illégal aux prud’hommes sont obligés de rembourser une partie de leur allocations chômage. La situation est souvent ressentie comme une injustice.
Geoffroy Roux de Bézieux a été élu à la tête de l'organisme patronal, en gagnant contre son « Monsieur Social », Alexandre Saubot. Après le mandat brouillon de Pierre Gattaz, le Medef a perdu sa place et sa légitimité.