Pendant plusieurs semaines, Mediapart s’est plongé dans les archives de la République sur la guerre d’Algérie (1954-1962), dont certaines ont été déclassifiées seulement fin 2021. Tortures, détentions illégales, exécutions extrajudiciaires : les documents montrent comment se fabrique la raison d’État, alors que l’Algérie célèbre les 60 ans de son indépendance.
Le dramaturge britannique Peter Brook, né en 1925 à Londres et associé à jamais aux murs rougeoyants des Bouffes du Nord à Paris, est décédé samedi à l’âge de 97 ans.
Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé dans son cabinet médical d’Alger par les forces de l’ordre françaises. À l’été 1958, l’armée indique à la famille qu’il a été libéré – mais aussi qu’il ne figure pas dans ses fichiers. Troisième volet de l’histoire de sa disparition.
La scène politique française actuelle est née d’un monde colonial, avec lequel elle n’en a pas terminé, rappelle l’autrice d’un ouvrage important sur 1962, année de l’indépendance de l’Algérie. Un livre qui tombe à pic, à l’heure des réécritures fallacieuses de l’histoire.
Une semaine après avoir dû admettre que les informations concernant le couple de députés Garrido-Corbière étaient fausses, l’hebdomadaire « Le Point » a été condamné en diffamation dans une tout autre affaire, en raison d’une base factuelle « inexistante ». Un fiasco de plus pour la direction de la rédaction, qui a une fâcheuse tendance à publier ses informations sans les vérifier.
Retour sur une étrange soirée en marge du sommet de l’Otan à Madrid, où les dirigeants, après avoir annoncé des milliards de dollars pour renforcer leur présence militaire sur le continent, se sont mis à contempler les « Ménines » de Velázquez au musée du Prado.
Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé dans son cabinet médical, au milieu de la casbah d’Alger, par les forces de l’ordre françaises. Mort ou vif, sa famille ne l’a jamais revu. Deuxième volet de l’histoire de sa disparition.
L’auteur du tube mondial « I Believe I Can Fly », condamné en septembre 2021 par un tribunal de New York pour une série de crimes sexuels, notamment sur des mineures, a écopé d’une peine de 30 ans de prison.
Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé à son cabinet, à Alger, par les forces françaises. Sa famille ne le reverra jamais. Et comme pour beaucoup, les circonstances de sa disparition restent incertaines. C’est l’objet de cette enquête en quatre volets.
Dernier court métrage iranien diffusé sur Mediapart en partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran : le combat d’une femme pour s’affranchir de la morale traditionnelle, qui interdit de montrer le visage des défuntes.
Troisième court métrage iranien diffusé sur Mediapart en partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran. Aujourd’hui, les stratagèmes d’un enfant fou de foot, face à son père, une brute épaisse.
Les Suédois Peo Hansen et Stefan Jonsson mettent au jour l’origine coloniale de l’Union européenne, dans un essai centré sur le concept méconnu d’Eurafrique. Cette notion controversée connut une gloire éphémère jusqu’à la conclusion du traité de Rome en 1957 avant d’être effacée des mémoires.
« Quelqu’un est-il capable de résoudre l’énigme ? », semble nous interpeller Roberto Bolaño dans « 2666 ». Cette question, ainsi qu’en témoigne l’édition de ses œuvres complètes par l’Olivier, revient de manière obsessionnelle d’un roman à un autre.
D’abord focalisé sur les intérêts sécuritaires du régime russe, le discours médiatique a intégré les motivations identitaires qui ont pu inciter à l’invasion de l’Ukraine. Nos invitées Aude Merlin et Juliette Faure, politistes et spécialistes de la Russie, analysent avec nuance cette dimension du conflit.
En partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran, Mediapart diffuse sur une semaine quatre courts métrages. Aujourd’hui, est-il possible de poursuivre ses rêves d’enfant dans un pays ravagé par la guerre ?
En partenariat avec le festival Cinéma(s) d’Iran, Mediapart diffuse sur une semaine quatre courts métrages. Bureau fermé, ordinateur envolé, supérieurs occupés... : une journaliste apprend son licenciement brutal.