Alors que des secouristes vont être entendus jeudi et vendredi au procès, le général Philippe Boutinaud, à la tête de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris le 13-Novembre décrypte les « forces de frottement » survenues entre les secours cette nuit-là.
Au procès des attentats du 13-Novembre, le père d’une victime tuée au Bataclan qui clame sa haine depuis six ans l’a déversée à l’encontre des accusés, des gouvernants mais aussi d’autres victimes. À rebours de la tonalité des autres témoignages.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, père de Lola, une victime du Bataclan, livre son témoignage, d’une humanité rare, à la barre de la cour d’assises spéciale.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats du 13 novembre 2015 écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Jessica, grièvement blessée à La Belle Équipe, livre son témoignage à la barre de la cour d’assises spéciale et raconte tout ce qui a précédé.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Emmanuel Domenach, un rescapé du Bataclan, s’interroge sur l’intérêt de son témoignage.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Christophe Naudin, rescapé du Bataclan, s’interroge sur la réception par le public de la succession « de deuils impossibles et de vies détruites ».
Un commissaire blessé au Bataclan a stigmatisé les accusés qui se plaignent de leurs conditions de détention et regretté de ne pas avoir eu le droit de porter une arme alors qu’il était hors service. Des propos qui ont fait réagir sur les bancs de la défense.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats du 13 novembre 2015 écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Roman, rescapé de La Belle Équipe, livre son témoignage à la barre de la cour d’assises spéciale et raconte tout ce qui a précédé.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, rescapé du Bataclan, raconte comment le procès ravive certains symptômes du stress post-traumatique.
À partir des témoignages de deux commissaires, de la retranscription d’une sonorisation et de divers procès-verbaux, Mediapart reconstitue minute par minute la nuit du 13-Novembre, du point de vue des policiers ayant mis fin à la tuerie du Bataclan.
Un policier antiterroriste a détaillé les revendications successives des attentats du 13-Novembre par l’État islamique, et projeté quelques extraits des vidéos dans lesquelles les kamikazes annonçaient par anticipation leur action.
Rongé par la culpabilité alors qu’il a sauvé des dizaines de vie, un commissaire de la BAC-N et l’ex-patron de la BRI, excédé par les polémiques qui ont visé son unité, ont témoigné sous le regard des victimes du Bataclan venues leur apporter leur soutien.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Nadine Ribet Reinhart, mère d’une victime du Bataclan, confie l’émotion qui l’envahit au moment d’assister pour la première fois au procès.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Emmanuel Domenach, présent au Bataclan le 13 novembre 2015, réagit ici à un article du journal « Le Monde » consacré à la place des parties civiles dans le procès.
À partir du témoignage d’un commandant de la brigade criminelle et de la retranscription d’une sonorisation, le procès des attentats du 13-Novembre a permis de reconstituer la tuerie du Bataclan qui a fait 90 morts, 202 blessés physiques et des centaines de traumatisés.
La justification par Salah Abdeslam des attentats du 13-Novembre du fait des bombardements effectués par la France en Syrie est une constante de la propagande victimaire djihadiste. Elle ne résiste pas à l’examen des faits.