Mediapart s’apprêtait à faire état de la scolarisation de ses enfants dans le privé, mais Édouard Geffray a pris les devants pour l’évoquer sur BFMTV. Il a fait mine d’être surpris par la question alors qu’il était informé en amont. Les dessous d’une opération de communication bien rodée.
Interrogé vendredi par la cour criminelle de Paris, le pénaliste a laissé les juges perplexes quant à l’existence d’un complot qui aurait été ourdi contre sa personne.
L’hypothèse d’un « assassinat d’avertissement » est évoquée par les enquêteurs après le meurtre du frère d’Amine Kessaci, militant politique et associatif engagé depuis quatre ans dans la lutte contre le narcotrafic. À gauche comme à droite, la classe politique fait part de son soutien et de son inquiétude.
À l’issue de son déplacement dans l’archipel, la ministre des outre-mer a annoncé la tenue d’une « consultation » locale sur le projet d’accord de Bougival, pourtant rejeté par le Front de libération nationale kanak et socialiste. Le pouvoir macroniste s’enferre dans sa méthode délétère.
L’ancien député socialiste était jugé pour détournements de fonds publics après avoir employé ses deux filles comme assistantes parlementaires. Deux ans de prison avec sursis probatoire, 40 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité ont été requis.
Margaux, la jeune femme qui accuse le ténor du barreau de l’avoir violée alors qu’elle était stagiaire au sein de son cabinet, en 2018, a livré un témoignage très fort, jeudi 13 novembre, à la cour criminelle de Paris.
Selon les informations de Mediapart, contrairement à ce que laisse croire la ville de Paris depuis plusieurs années, l’édile choisit systématiquement la première classe en train et la classe business en avion pour ses déplacements. Contrevenant ainsi aux règles en vigueur pour les élus.
Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015, la capitale a rendu hommage aux 130 morts et aux centaines de blessés du pire attentat qui ait frappé la France. De la rue de Charonne au Bataclan et à la place de la République, des milliers de personnes se sont rassemblées pour commémorer et partager.
Face aux mises en cause d’animateurs qui se multiplient, des collectifs de parents et des syndicats se mobilisent pour obtenir de la ville de Paris qu’elle admette ses failles et déploie des moyens. Une pierre dans le jardin de la majorité sortante.
Ces derniers mois, les suspensions d’animateurs se multiplient dans les écoles de la capitale. Mercredi 12 novembre, d’après nos informations, des parents ont déposé plainte avec constitution de partie civile pour viol aggravé sur une enfant de maternelle. Plusieurs familles concernées confient leur colère à Mediapart.
La plainte vise l’Éducation nationale pour « harcèlement » mais aussi le maire du village de Moussages, où est située l’école primaire dont elle avait aussi été la directrice.
À travers l’analyse du procès des attentats du 13-Novembre, un livre interroge la justice antiterroriste française. Entretien avec deux des auteurs : Anne Wyvekens, directrice de recherche CNRS, et Antoine Mégie, maître de conférences à Rouen.
Les attentats djihadistes, plus rudimentaires, sont perpétrés par des terroristes très jeunes et souvent inconnus des services. Depuis le 7 octobre 2023, la moitié des attaques menées ou déjouées sont, selon les services de renseignement, motivées par la guerre à Gaza.
Pendant toute la durée du procès des attentats du 13-Novembre, sept victimes des attentats ont écrit et décrit leurs sentiments. À l’occasion des dix ans des attentats, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, raconte avec sensibilité comment il appréhende leurs commémorations.
Pendant toute la durée du procès du 13-Novembre, sept victimes des attentats avaient écrit et décrit leurs sentiments. À l’occasion des dix ans des attaques terroristes, Emmanuel Domenach, qui était dans la salle de concerts parisienne, s’interroge sur notre mémoire collective.
Créée en 2015 et plébiscitée sans relâche par la macronie, l’association Le Choix de l’école repère des diplômés de grandes écoles désireux d’enseigner dans les quartiers défavorisés. L’ancienne directrice, Nadia Marik, est renvoyée devant le tribunal correctionnel pour harcèlement moral.