Des salariés d’un site polonais du groupe français sont en grève contre des conditions de travail très dégradées et des rémunérations très faibles. L’équipementier automobile est en pleine restructuration, alors même qu’il est rentable.
Le vide créé par la crise diplomatique franco-algérienne donne l’occasion aux États-Unis de se redéployer économiquement au Maghreb, compte tenu du rôle de plus en plus déterminant que joue le pays dirigé par Donald Trump dans le règlement d’un conflit vieux d’un demi-siècle.
Trafics, blanchiment et règlements de comptes meurtriers illustrent les liens tissés entre les milieux mafieux et l’extrême droite, devenue l’indispensable alliée du président turc.
Trump affirme qu’il ne reste que « quelques points de désaccord » à régler. L’émissaire spécial états-unien Steve Witkoff doit se rendre à Moscou « la semaine prochaine » pour discuter avec Vladimir Poutine. Le secrétaire à l’armée de terre, Dan Driscoll, va de son côté rencontrer les Ukrainiens.
Mediapart révèle la plainte contre les autorités allemandes de Sandra Alloush, contrôlée au faciès dans un train en direction de l’Allemagne, le 16 juin. Alors qu’elle disposait d’une carte de séjour, elle a été forcée de descendre de la rame, fouillée à nu au commissariat et renvoyée en France.
L’érosion côtière s’intensifie, les terres cultivables deviennent improductives, et les événements climatiques extrêmes se multiplient. De nombreuses familles abandonnent leurs terres et migrent vers la capitale, où elles deviennent des cibles privilégiées pour les gangs.
L’armée soudanaise a perdu le monopole de l’usage des drones, auxquels ont massivement recours les forces paramilitaires de Hemetti. Les civils font les frais de ces armes produites dans des pays étrangers, comme les Émirats arabes unis ou la Turquie, et qui alimentent ce conflit meurtrier.
Des médias américains et britanniques affirment que des discussions ont eu lieu lundi et se poursuivent mardi dans la ville des Émirats arabes unis. Le patron des services de renseignement militaire ukrainiens participerait à ces négociations, qui interviennent après une nuit de frappes « massives » sur l’Ukraine et la Russie.
Sommé de répondre en quelques jours à un « plan de paix » en 28 points, largement favorable à Moscou et dont personne ne connaît exactement l’origine, l’exécutif ukrainien a choisi d’avancer avec méthode, pour infléchir autant que possible son contenu.
Les mobilisations contre l’accord entre l’Union européenne et quatre pays d’Amérique latine s’accélèrent. Face aux guerres commerciales de Trump, la Commission est pressée de le conclure. D’abord réticente, la France pourrait basculer dans le camp du « oui ».
Une centaine de manifestants se sont rassemblés lundi 24 novembre devant le Parlement européen pour exhorter les eurodéputés à poursuivre la contestation du traité de libre-échange avec l’Amérique latine devant la Cour de justice de l’Union européenne.
Les six élections régionales organisées depuis septembre ont reconduit les majorités existantes. Malgré son union, la gauche n’a pas vraiment progressé et n’a surtout pas ralenti la forte montée de l’abstention. Ce phénomène devient désormais central dans la vie politique italienne.
Depuis la commune au pied des Pyrénées d’où étaient partis les terroristes des attentats de Barcelone en 2017, la cheffe d’Alliance catalane, Sílvia Orriols, s’est imposée comme une nouvelle figure politique. Son parti xénophobe et indépendantiste connaît une ascension rapide.
Le journaliste et chroniqueur Ibrahim Badra dénonce l’hypocrisie d’une trêve au cours de laquelle des Palestiniens sont encore tués par Israël, et des quartiers entiers visés par des bombardements. « Le cessez-le-feu n’est qu’un délai accordé dans le processus d’exécution », écrit-il.
Haitham Ali Tabatabai avait été promu chef militaire du Hezbollah après la mort des principaux responsables militaires du mouvement durant la guerre avec Israël. C’est le plus haut responsable du Hezbollah à être tué depuis le cessez-le-feu.
Les pourparlers qui se sont tenus ce week-end en Suisse sont terminés. La Maison-Blanche estime qu’ils ont constitué « un pas en avant significatif » vers un règlement de paix entre l’Ukraine et la Russie. Le président ukrainien salue une nouvelle version du plan qui reflète « déjà la plupart des priorités clés » de Kyiv.