Rendu en février aux représentants du personnel de la « maison confédérale », le document alerte sur une surcharge de travail et signale de nombreux conflits. L’administrateur Laurent Brun assure que la situation s’est apaisée et annonce plusieurs mesures, dont une formation au management pour les encadrants.
Le président états-unien, qui a brutalement mis fin à l’aide au développement à destination des pays africains, est attiré par les ressources naturelles du continent et explique vouloir se concentrer sur le commerce. Mais sur place, on craint l’impact des droits de douane imposés par Washington.
Donald Trump a annoncé imposer des droits de douane de 50 % au Brésil à partir du 1er août. Une décision politique qui cherche à soumettre le Brésil et à abattre le gouvernement Lula au profit de l’extrême droite.
Même les gouvernements favorables au « deal » négocié entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Donald Trump ne défendent cet accord que du bout des lèvres, car il révèle les dépendances et les divisions européennes.
Pour redorer son image, le géant du commerce en ligne tente par tous les moyens d’influencer les responsables politiques mais aussi l’opinion publique, par des partenariats commerciaux avec des influenceurs et des placements de produits dans les séries télévisées.
Chaque année, l’ONG nord-américaine Stand.earth mesure l’utilisation des énergies fossiles par les plus grandes marques de mode du monde. L’entreprise chinoise, invariablement, arrive à la dernière place du classement.
Les chiffres de la croissance du deuxième trimestre ont confirmé la morosité de l’activité économique des deux côtés de l’Atlantique. Derrière les effets statistiques de la politique Trump, la croissance états-unienne ralentit, tandis que la zone euro s’englue dans la stagnation.
Dans un rapport à paraître, Action Aid France et China Labor Watch donnent à voir l’envers du décor chez Shein, géant de la fast-fashion. Salaire à la pièce, conditions de travail dégradées, absence de droits… En bref, une « exploitation à grande échelle ».
La capitulation commerciale face aux États-Unis est le fruit d’une incapacité de l’UE à remettre en cause son modèle exportateur délétère et, plus généralement, d’une volonté de protéger un statu quo à l’origine de la stagnation du Vieux Continent.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a conclu dimanche soir un accord avec Donald Trump qui fait la part belle aux exigences de Washington. Un droit de douane global de 15 % sera appliqué, mais Bruxelles promet aussi de financer massivement l’économie états-unienne.
Le Relais, acteur majeur de la collecte textile en France, est en crise depuis plusieurs mois. Face à l’augmentation de vêtements donnés, l’entreprise d’insertion assure n’avoir plus les moyens de remplir sa mission. À Saint-Hilaire-lez-Cambrai, les salariés s’inquiètent pour leur avenir.
Les deux pays d’Asie du Sud-Est ont échangé des tirs mortels autour de leur frontière contestée jeudi 24 juillet. La Thaïlande doit faire face à un épuisement de son modèle économique, tandis que le Cambodge atteint déjà les limites de son développement rapide.
Le sidérurgiste (ex-Ascometal), qui emploie 720 personnes sur quatre sites en France, n’a plus un sou en caisse. Le fonds d’investissement Greybull Capital, qui l’avait repris in extremis en juillet 2024, n’a pas versé les 90 millions d’euros promis. L’État, lui, a bien versé 85 millions. En vain.
Depuis le 10 juillet, dix des douze agents de Paris adresse sont en grève. Ils réclament des locaux dignes pour accueillir les plus précaires et une prime mensuelle de 140 euros. S’ils ont déjà obtenu le déménagement du service, les revendications salariales n’ont pas été satisfaites.
Un conflit social d’une durée inhabituelle perturbe les chantiers de maintenance de cinq centrales nucléaires depuis la mi-juillet. Des personnels itinérants d’Arabelle Solutions, une filiale d’EDF, protestent contre la réduction de leurs primes.
Une plainte pour harcèlement sexuel a été déposée par une ex-syndicaliste contre un collègue, et le Défenseur des droits a épinglé le syndicat et l’entreprise publique. Il y a quelques mois, Mediapart avait révélé un premier dossier similaire, touchant le même syndicat sur la même période.