Un terrible face-à-face a lieu les 8 et 9 novembre 2004 devant l’hôtel Ivoire, au cœur d’Abidjan, entre des milliers de civils non armés et un groupement de 300 militaires français. Il va se finir dans le sang.
Un homme a été tué jeudi 15 août en Nouvelle-Calédonie par un tir de gendarme lors d’un affrontement entre émeutiers et forces de l’ordre, portant à onze le nombre de décès depuis le début mi-mai des troubles dans l’archipel français du Pacifique sud, a indiqué à l’AFP le procureur de Nouméa.
Farid a été condamné pour terrorisme en 2017, libéré en 2019. Il dit tout faire depuis pour se réinsérer. Mais il a été déchu de sa nationalité en 2022. Et placé « à titre préventif » dans un centre de rétention le temps des épreuves à Nice, alors qu’il n’est pas expulsable.
Dans un rapport pour le CSE de la FFT, que révèle Mediapart, le cabinet d’expertise Technologia dresse un tableau apocalyptique du management « toxique » et « autoritaire » de Gilles Moretton. Amélie Oudéa-Castéra aussi est mise en cause.
La sociologue du sport Béatrice Barbusse, vice-présidente de la fédération de handball, fait le bilan des Jeux olympiques. Elle demande davantage de moyens pour lutter contre les inégalités dans la pratique sportive, et appelle à continuer le combat contre les violences sexistes et sexuelles.
Le succès des Jeux olympiques de Paris ne sera qu’une ivresse coupable s’il ne permet pas une prise de conscience des pouvoirs publics. Il est temps de faire de la France un pays de sport, dans ce qu’il a de plus social, égalitaire et inclusif.
Après une nuit cauchemardesque, l’armée française renforce son contrôle en Côte d’Ivoire le 7 novembre 2004. Des colonnes de blindés traversent le pays pour rejoindre Abidjan, passent en force, faisant morts et blessés. L’une d’elles se retrouve en pleine nuit devant la résidence du président ivoirien. Deuxième volet de notre série.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire de cette dernière : une finale à suspense, une cérémonie de clôture aux accents américains et l’activisme d’Emmanuel Macron.
Comme les autres grands projets, les Jeux olympiques ne sont pas qu’un événement passager mais une manière d’exercer le pouvoir : sans vote, sans transparence sur les dépenses d’argent public, avec des promesses écologiques intenables.
Le 6 novembre 2004, l’armée française est victime en Côte d’Ivoire d’un bombardement meurtrier aux contours flous. Aussitôt, la France lance des représailles contre l’armée ivoirienne. C’est le début de l’un des épisodes les plus troubles et sanglants des relations franco-ivoiriennes contemporaines. Premier volet de notre série.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire du 11 août : les volleyeurs français réussissent à conserver leur titre, un stade maudit, un handballeur danois et un sport qui fait penser à Nanni Moretti.
Comment s’imaginer rockeuse ou rappeuse quand moins de 20 % des personnes qui montent sur scène dans les musiques actuelles sont des femmes ? En intégrant des colos pour musiciennes, qui se multiplient en France et permettent d’amplifier la confiance de celles qui veulent se faire une place dans un milieu encore hostile.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire du 10 août : des matchs de sports collectifs au suspense infernal, une grimpeuse en finale, des marathoniens confrontés à la grimpette, une course cycliste pour matheux, et la maire de « LA » en Seine-Saint-Denis.
Elle avait rejoint son frère, un Franco-Palestinien habitant à Aix-en-Provence, pour l’accompagner dans ses soins au quotidien. Mais sa demande de titre de séjour a été rejetée et doublée d’une OQTF. Une décision confirmée par la justice. Contactée, la préfecture indique que l’OQTF ne sera pas « mise à exécution ».
La France est le seul pays à interdire le port du voile, ou tout autre signe religieux, à ses athlètes lors des Jeux olympiques. Des basketteuses portant le hidjab, membres du collectif Basket pour toutes, rappellent que l’interdiction les empêche de jouer et de progresser tout le reste du temps.