Au lendemain des révélations de Mediapart sur le 17 octobre 1961 à partir d’archives inédites de la présidence de Gaulle, l’écrivain et réalisateur Mehdi Lallaoui, figure du combat pour la vérité sur ce crime d’État, revient sur des décennies de déni et de dissimulation.
Plusieurs drames révèlent les graves manquements de cette institution chargée de protéger 150 mineurs en danger dans les Alpes-Maritimes et gérée par le département. « On n’en parle pas à TF1, mais ce qui se passe ici est aussi grave que dans les Ehpad », confie un éducateur spécialisé.
Échangez avec Valentine Oberti et Luc Hermann, les co-réalisateurs du documentaire « Media Crash - Qui a tué le débat public ? » ainsi que Laurent Mauduit, co-fondateur de Mediapart. Ce rendez-vous de Mediapart est l’occasion pour toutes les personnes qui n'ont pu assister aux séances-débats dans les cinémas de poser toutes les questions autour du film et de la concentration des médias.
La présidente de région Occitanie est la figure de proue de la fronde socialiste anti-Nupes. Si son camp est convaincu qu’il existe un espace politique à occuper à droite de Mélenchon, on s’agace côté Nupes de cette « macroniste de gauche » qui ne s’assume pas.
Le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour « blanchiment aggravé » à la suite de la publication, par Mediapart et ses partenaires, de l’opération « Congo hold-up ». Un immense scandale de détournements de fonds publics en République démocratique du Congo, avec des ramifications en France.
Le 26 mars, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un policier a tué le conducteur d’une camionnette, Jean-Paul Benjamin, 33 ans et habitant de Sevran. Les éléments de l’enquête que Mediapart a pu consulter contredisent la thèse de la légitime défense de cet agent qui a fait feu alors que ni sa vie ni aucune autre n’étaient en danger au moment du tir.
L’hôpital s’est mobilisé dans une cinquantaine de villes en France. Les manifestants alertent sur une situation d’une gravité sans précédent. Ils craignent aussi les prochaines annonces pour les urgences, qui pourraient restreindre l’accueil des patients.
L’ancien président du musée du Louvre a été mis en examen pour trafic d’antiquités. Une affaire au retentissement mondial qui ouvre des questions délicates pour les institutions culturelles et l’État français. Également au sommaire : retour sur les révélations de Fabrice Arfi sur le 17 octobre 1961.
Le dernier baromètre du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté a été remis à la Première ministre. Il décrit la paupérisation, après la pandémie, d'une frange de la population déjà fragile. Entretien avec la présidente du CNLE et le président de son conseil scientifique.
Vendredi 3 juin, en pleine demi-finale hommes de Roland-Garros, une militante du climat a fait irruption sur le court. Elle s'appelle Alizée et elle a expliqué les raisons de son action à Mediapart.
Dans la Somme, des élus locaux accusent le député Jean-Claude Leclabart d’avoir multiplié les projets coûteux, votés dans des conditions litigieuses, juste avant de quitter la présidence d’une communauté de communes. Mis en examen pour « faux en écriture publique », l’élu LREM a été réinvesti aux législatives. Et pourrait in extremis échapper à un procès.
Déjà sanctionné sur le plan disciplinaire, l’ancien numéro 10 des Bleus doit faire face, à partir de mercredi 8 juin, en Suisse, à un procès pénal pour « escroquerie », au sujet du paiement de 1,8 million d’euros reçus en 2011. L’ex-patron tout-puissant de la Fifa, Sepp Blatter, sera également sur le banc des prévenus.
Appliquer un programme justifie-t-il de s’affranchir du droit européen ? C’est l’une des controverses centrales de la campagne des législatives. Mediapart a réuni l’eurodéputée insoumise Manon Aubry et le ministre délégué aux affaires européennes Clément Beaune.
La deuxième circonscription de l’Hérault, intégralement montpelliéraine, compte 16 candidatures pour les législatives. Deux candidatures LFI, une PS et deux dissidences côté majorité présidentielle s’affronteront au premier tour.
Des archives inédites de la présidence de la République, consultées par Mediapart, le prouvent désormais : Charles de Gaulle et l’Élysée ont tout su – et très vite – de ce crime d’État. Le président a même demandé par écrit que les « coupables » soient poursuivis. Mais le massacre restera à jamais impuni, judiciairement et politiquement.
L’union populaire conclue à Paris autour de La France insoumise bouscule non seulement les plans de la majorité présidentielle pour conserver ses nombreux députés bretons, mais également la gauche, dont socialistes et écologistes se disputaient jusque-là le leadership.